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Baromètre de l'activité des salons en Île-de-France en 2022

Soumis par sfournier le lun 09/05/2022 - 08:33
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Année 2022
Nette reprise et signaux encourageants pour 2023

Les salons franciliens ont enregistré de bons résultats sur l’année 2022, même si l’activité n’a pas encore totalement retrouvé les niveaux d’avant la crise sanitaire. La tendance, nettement orientée à la hausse, constitue un signal encourageant. La fin de la politique « zéro Covid » en Chine devrait être synonyme de retour des clientèles chinoises sur les salons franciliens en 2023.

4ème trimestre 2022
Une pause dans le rebond de l’activité des salons

Les salons professionnels ont enregistré de meilleurs résultats au 4ème trimestre 2022 qu’au 3ème trimestre. Néanmoins, la reprise reste fragile depuis le début de l’année sur ce segment. Le rebond vigoureux de l’activité des salons grand public observé depuis le 1er trimestre s’est atténué au 4ème trimestre. La participation des visiteurs a sensiblement baissé sur le segment grand public.

9 premiers mois de 2022
La reprise est enclenchée

Les salons franciliens ont enregistré de bons résultats sur les 9 premiers mois 2022, même si l’activité n’a pas encore retrouvé les niveaux d’avant la crise sanitaire. La tendance, nettement orientée à la hausse, constitue un signal encourageant. Bien qu’aucun salon n’ait été annulé au cours du semestre écoulé, l’impact de la crise reste non négligeable.

3ème trimestre 2022
Les salons grand public tirent leur épingle du jeu

Les salons grand public, qui accueillent essentiellement une clientèle francilienne ou nationale ont enregistré de bons résultats au 3ème trimestre et sont désormais proches d’avoir retrouvé leur niveau d’avant crise sanitaire. Les salons professionnels internationaux confirmés, certes toujours impactés par le plus lent retour de leur clientèle étrangère lointaine, sont également dans une phase de reprise mais moins dynamique.

1er semestre 2022
une nette amélioration après
2 années difficiles

Les salons franciliens ont enregistré de bons résultats au 1er semestre 2022, même si l’activité n’a pas retrouvé les niveaux d’avant la crise sanitaire. La tendance, nettement orientée à la hausse, constitue un signal encourageant. Bien qu’aucun salon n’ait été annulé au cours du semestre écoulé, l’impact de la crise demeure significatif.

2ème trimestre 2022
une activité dynamique en particulier
pour les salons professionnels

Les salons professionnels ont enregistré des résultats très encourageant. La participation des exposants et la surface nette occupée par les stands, bien que toujours en retrait, s’approchent doucement des niveaux observés avant la crise. La fréquentation des visiteurs est, quant à elle, toujours impactée par le lent retour de la clientèle internationale lointaine. Le redressement de l’activité des salons grand public se poursuit bien plus lentement.

1er trimestre 2022
Le rebond de l’activité se poursuit, grâce aux salons grand public

Les salons grand public ont enregistré de bien meilleurs résultats au 1er trimestre 2022 que lors des sept précédents trimestres. Cela s’explique par le fait qu’ils bénéficient d’une clientèle beaucoup plus locale et nationale.

Les salons professionnels, en particulier les internationaux confirmés, restent pénalisés par une clientèle lointaine qui peine à revenir. Leur activité au 1er trimestre 2022 s’est même révélée moins bonne que fin 2021, tout en restant supérieure à celle enregistrée au 3ème trimestre 2021. Bien qu’aucun salon n’ait été annulé au cours du trimestre écoulé, l’impact de la crise sanitaire demeure significatif. En effet, le nombre d’exposants et de visiteurs, en particulier étrangers, est encore loin d’être revenu aux niveaux observés avant la pandémie.

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Indicateur d'activité des salons en Île-de-France en 2021

Soumis par cfaure le jeu 18/03/2021 - 16:43
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Année 2021 :
seulement 4 mois d’activité

Aucun salon n’a eu l’autorisation de se tenir en présentiel dans les 21 principaux sites d’exposition et de congrès franciliens entre janvier et mi-juin 2021. Puis est venu le temps de la pause estivale, période habituellement sans manifestations.

Une fin d’année 2021 encore loin des niveaux de 2019

Après une reprise d’activité dans des formats réduits en septembre, les salons ont enregistré de meilleurs résultats au 4ème trimestre. Globalement, l’année 2021 affiche des résultats proches de ceux de 2020.

Un impact économique considérable pour 2021

Le coût économique de la crise sanitaire, déjà important en 2020 pour le secteur, est là encore très conséquent en 2021.

Impact éco salons 2021 V7
Source : CCI Paris Île-de-France

 

_______________

 

4e trimestre 2021 :
un net redressement de l’activité

Après une reprise d’activité dans des formats réduits au 3e trimestre, les salons ont enregistré de meilleurs résultats au 4e trimestre.

Un rebond notable de l’activité pour les salons professionnels

Tous les indicateurs (fréquentation des visiteurs et exposants, surface nette occupée par les stands) enregistrent les meilleurs résultats depuis janvier 2020 (cf. graphique). L'activité demeure toutefois en retrait par rapport à celle constatée en 2019.

Évolution des indicateurs trimestriels d’activité des salons professionnels franciliens (2019 à 2021)

graph 4T 2021
Source : CCI Paris Île-de-France

 

Si les salons ne sont finalement pas concernés par les jauges mises en place début janvier par le gouvernement, le variant Omicron pourrait affecter la venue des clientèles françaises et européennes de proximité. Cette situation délicate a conduit les organisateurs à reporter à mars ou juin certains salons initialement prévus en janvier.

3e trimestre 2021 :
une reprise d’activité encourageante

Bonne nouvelle : 51 salons se sont tenus à Paris Île-de-France au 3e trimestre 2021, soit autant qu’au 3e trimestre 2019. Toutefois, ces manifestations se sont déroulées dans des formats réduits. L’activité des salons professionnels a quasiment été divisée par deux. Les manifestations professionnelles accueillant une forte proportion de clientèle étrangère ont naturellement davantage été impactées. Les salons grand public, pénalisés par un pourcentage d’annulation plus important, ont quant à eux connu une rentrée plus poussive. Enfin, 17 salons ont proposé une formule hybride à leurs clients.

Nous comparons le 3e trimestre 2021 par rapport au 3e trimestre 2019 (cf. méthodologie) qui avait été exceptionnel. Cela peut donner l’impression que l’activité au 3e trimestre 2021 est très basse, alors que le secteur est dans une dynamique de reprise. Le retour à la situation d’avant la crise sanitaire prendra du temps et dépendra notamment du retour de la clientèle étrangère.

impact éco salons 2021
Source : CCI Paris Ile-de-France
Données actualisées le 15 octobre 2021

 

2e trimestre 2021 :
une reprise de l’activité progressive

Aucun salon francilien n’a eu l’autorisation de se tenir en version « physique » entre avril et mi-juin 2021. Seulement six ont eu lieu dans la seconde quinzaine de juin. Pas moins de 69 ont été annulés au 2ème trimestre 2021. De ce fait, le média salon a connu une chute d’activité de plus de 90 % sur le trimestre. Pour l’ensemble de l’année 2021, 154 salons en présentiel n’ont pas pu se tenir.

1er trimestre 2021 :
une année 2021 aussi sombre que 2020 ?

Aucun salon francilien n’a eu l’autorisation de se tenir en version « physique » au 1er trimestre 2021. De ce fait, le média salon a connu une chute d’activité de 100 %. Pour 2021, 100 salons en présentiel ont été à ce jour annulés. Parmi ceux-ci, 55 ont eu (ou vont avoir) lieu en version digitale. L’impact économique de la crise sanitaire est donc déjà considérable pour 2021 : 1,6 milliard € de retombées économiques perdues pour le territoire et 5,7 milliards € de ventes non réalisées entre exposants et visiteurs. Néanmoins, les professionnels s’organisent pour une reprise d’activité pour la rentrée de septembre 2021. Selon une enquête du Leads, les entreprises sont plus que jamais impatientes d’exposer à nouveau sur les salons « physiques ».

 

Auteur : Jean-Marie Nays

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Former tous les talents

Soumis par cfaure le lun 05/06/2023 - 06:33

RAPPORT D'ACTIVITÉ 2022

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En 2022, le Groupe éducatif de la CCI Paris Ile-de-France a formé, au sein de ses 14 écoles, 41 650 étudiants, dont 16 650 apprentis, et plus de 30 000 adultes en formation continue. Son leitmotiv ? Transmettre les compétences attendues pas les entreprises.

Face aux défis que doit relever le monde économique, notamment les transformations numériques & environnementales et les difficultés de recrutement... le Groupe éducatif a poursuivi ses transformations et mis en œuvre sa raison d'être lancée en 2021. Objectif : anticiper les modèles de formation et les pédagogies du futur et poser « la formation des formateurs » comme socle de la construction de l'école de demain.

Des écoles en constante évolution

Dans nos écoles, l'exigence de souplesse et d’adaptation des modèles éducatifs et l’accueil de la diversité des apprenants, s'organisent en garantissant les niveaux de qualité des formations (certification Qualiopi) et de résultats ( taux de réussite aux examens et taux d'insertion professionnelle).

Des écoles au plus près des besoins des entreprises

Pour répondre aux besoins des entreprises en compétences plus larges ou mixtes, nos écoles se sont engagées dans la diversification des parcours, la certification par blocs de compétences et l’intégration d’une réflexion sur les pédagogies adaptées. Une proposition pédagogique de formation tout au long de la vie (FTLV) a été lancée « Construire et accompagner la FTLV ».

Les établissements se sont engagés en 2022 dans une dynamique d’hybridation des formations et des enseignements, en créant ou intégrant des ressources en ligne, revisitant les ingénieries et les maquettes pédagogiques, lançant des campus numériques et des formations en ligne (modules de formation numérique, MOOC, ressources pédagogiques externes, modules de formation en ligne).

Un projet d'école phygitale

Après une phase de soutien à des situations de crise telles la Covid-19, le numérique éducatif se généralise et se normalise au sein du Groupe éducatif. Il s’intègre désormais comme une modalité à part entière dans les pratiques et les politiques de formation (classes virtuelles, plateforme LMS pour la digitalisation des formations, classes asynchrones).

L’année 2022 a été l’occasion d’explorer et d’investir des dynamiques de formation nouvelles et de créer des innovations inspirantes, pour les écoles et par les écoles, dans le cadre du projet « Ecoles phygitales » cofinancé par le FEDER : création de badges numériques, accompagnement et formation des enseignants et des acteurs éducatifs à l’utilisation du numérique éducatif, configuration d’espaces numériques de formation permettant de développer la qualité de l’expérience étudiante.

Quatre transformations notables ressortent des actions menées :

  • Amplification de la production digitale (développement de modules de formation, production de MOOC),
  • Développement structurant qui a permis d’hybrider 31 formations bénéficiant à 2900 étudiants du Groupe éducatif,
  • Refonte de maquettes pédagogiques,
  • Lancement d’un campus digital,
  • Production de podcasts pédagogiques pour sensibiliser les étudiants à la RSE dans le cadre de leur développement professionnel,
  • Valorisation du patrimoine créatif de GOBELINS Paris avec le lancement de la Creative Gallery rassemblant les œuvres réalisées par les étudiants pendant leur formation,
  • Formation et animation de la communauté des acteurs éducatifs des écoles en matière de pédagogie et de transformation éducative et digitale du Groupe éducatif de la CCI Paris Ile-de-France.

« Le projet « Ecoles phygitales » a constitué un levier important de la transformation éducative et digitale du Groupe éducatif. Cette dynamique se poursuivra tout au long de l’année 2023 et permettra de continuer la transformation de l’offre de formation du Groupe pour répondre aux besoins des entreprises et des apprenants ».

Thomas Jeanjean, Directeur général adjoint Education

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En 2022, le Groupe éducatif de la CCI Paris Ile-de-France a formé, au sein de ses 14 écoles, 41 650 étudiants avec pour leitmotiv de transmettre les compétences attendues pas les entreprises.
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Les chiffres de l'Observatoire consulaire des entreprises en difficulté (OCED)

Soumis par sfournier le ven 31/03/2023 - 13:22
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Le dossier "statistiques" retrace sur les deux dernières années disponibles l’évolution des procédures amiables et judiciaires de prévention et de traitement des difficultés et celles de liquidations judiciaires pour chacun des neuf Tribunaux de commerce de l'Île-de-France sur la base de données statistiques détaillées pour chaque tribunal.

Retrouvez les donnés détaillées selon la structure des procédures ou encore les chiffres en matière de prévention des difficultés.

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Tableau de bord départemental du Val-d'Oise - 2020

Soumis par npagnoux le jeu 30/03/2023 - 09:14
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4ème trimestre 2020

Heurs et malheurs, incertitudes et espoirs dans le Val-d’Oise

Dans le Val-d’Oise, si certains indicateurs économiques peuvent paraître bien orientés et inciter à l’optimisme (créations ou défaillances d’entreprises, construction, etc.), d’autres laissent davantage entrevoir la situation bien fragile et des perspectives difficiles (emploi, transport aérien, baisse à venir des aides aux entreprises, etc.).

La forte présence, dans l’est du département, de l’activité aéronautique et les incertitudes quant à la reprise de ce secteur n’incitent pas à l’optimisme.

Cependant, le plan de relance présenté en mai 2021 par l’Etat, prévoyant, d’une part, de multiples travaux publics (dont la ligne 17 du Grand Paris Express et la gare de Gonesse) et, d’autre part, proposant une ambition nouvelle (autour du projet agroalimentaire spécifique au Val-d’Oise) permet d’envisager l’avenir à moyen terme avec espérance.

3ème trimestre 2020

Une situation économique fragile et incertaine dans le Val-d’Oise

La situation économique globale actuelle dans le Val d’Oise reste difficile et source de nombreuses interrogations, à la fois quant à l’interprétation de certaines données et quant aux prévisions que l’on pourrait émettre pour les mois à venir.

Ainsi, le faible niveau actuel des défaillances d’entreprises est lié à l’attribution d’aides publiques ; l’année 2021 pourrait connaître un retournement violent de la situation.

Parallèlement, le volume toujours conséquent de créations d’entreprises est à la fois la conséquence du taux de chômage qui a bondi (et incite à la création de sa propre structure) et d’un effet de rattrapage du recul subi au 1er semestre 2020. Parallèlement, le faible niveau de surfaces autorisées augure d’une activité à venir très réduite en termes de construction. Ainsi, malgré un semblant de répit au cours de l’été, la situation du Val d’Oise reste très fragile.

2ème trimestre 2020

Val-d’Oise : la crise sanitaire a fait retomber l’emploi à son niveau de mi-2018

Comme au trimestre précédent, les indicateurs économiques dans le Val-d’Oise ont montré des signes d’inflexion au 2e trimestre 2020 mais ils ne semblent pas encore traduire complètement l’intensité des conséquences de la crise sanitaire.

Ainsi, il faudra attendre les données du 3e trimestre pour mesurer réellement l’évolution des défaillances d’entreprises et du taux de chômage. Parallèlement, la construction d’immobilier d’entreprise paraît moins souffrir dans le Val-d’Oise que sur l’ensemble de l’Ile-de-France. Les tendances les plus révélatrices de la situation actuelle sont alors à rechercher du côté des créations d’entreprises (- 18,6 %) ou encore de l’emploi salarié (- 1,1 %) qui est retombé à son niveau d’il y a 2 ans.

1er trimestre 2020

Val d’Oise : une situation difficile… mais pas désespérée…

Les indicateurs économiques dans le département ne sont globalement pas favorables ; certes, certains d’entre eux peuvent faire illusion (défaillances d’entreprises, taux de chômage, construction) mais ils suivent en cela les résultats affichés sur l’ensemble de la région et s’expliquent souvent par des ajustements dans le temps ou techniques. Pour autant, les entreprises elles-mêmes, commerces compris, et également les collectivités publiques (département communautés d’agglomération ou de communes, communes) ont pris la mesure des efforts à engager pour favoriser une reprise d’activité et un meilleur retour à l’emploi ; certains secteurs (commerce, restauration, tourisme, etc.) demeurent encore extrêmement fragiles.

 

Auteurs : Mickaël LE PRIOL - Pierre De RICAUD

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Tableau de bord départemental du Val-d'Oise - 2021

Soumis par npagnoux le jeu 30/03/2023 - 08:57
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4ème trimestre 2021

Lemarché de l’emploibien orienté dans le Val-d’Oise

Fin 2021, la situation de l’emploi dans le Val-d’Oise est apparue, comme dans l’ensemble de la région, plutôt favorable, avec un taux de chômage en baisse et un niveau d’emploi en hausse. L’augmentation de l’emploi en intérim, si elle n’est pas le gage d’une situation stable, est le signe d’une activité bien orientée.

Les autres données économiques sont en revanche de nature à susciter des interrogations, voire des inquiétudes. C’est le cas de la diminution des créations d’entreprises et de la hausse des défaillances ; il en est de même pour les secteurs de la construction ou de l’activité hôtelière (reflets de l’attractivité du département ou de la faiblesse de l’activité aéroportuaire).

3ème trimestre 2021

Un long et fragile chemin vers le retour du Val-d’Oise aux jours meilleurs

Au 3e trimestre 2021, le constat d’une amélioration dans le Val-d’Oise est évidente si on se fie aux indicateurs parmi ceux que la crise sanitaire avait particulièrement fragilisés : frémissement de la fréquentation hôtelière, hausse des surfaces autorisées à construire, créations d’emploi, etc.

Toutefois, l’augmentation de 0,2 point du taux de chômage départemental et la remontée du nombre de défaillances d’entreprises atténuent l’optimisme.

C’est probablement le signe de fragilités ou d’incertitudes pérennes (l’activité aéroportuaire et les services connexes) et l’attente de projets de développement durables et ambitieux, au sein desquels les transports du Grand Paris Express ou Agoralim s’inscrivent nécessairement.

Mars 2022

2ème trimestre 2021

Le Val-d’Oise au rendez-vous de la reprise au 2e trimestre 2021

Plusieurs éléments ont témoigné d’un rebond économique dans le Val-d’Oise au 2e trimestre 2021.

Au-delà des créations d’entreprises, toujours nombreuses, et des défaillances d’entreprises, dont le volume reste faible grâce aux aides publiques, les signaux les plus favorables sont venus du marché de l’emploi ; l’emploi salarié dans le département est ainsi désormais supérieur de 0,9 % à son niveau d’avant crise (4e trimestre 2019) alors que le déficit est encore de 0,7 % au plan régional. Parallèlement, même si le taux de chômage départemental reste élevé, il ne dépasse que de 0,4 point son niveau d’avant la pandémie.

Par ailleurs, les autorisations de construire laissent augurer de perspectives favorables pour le secteur. A l’inverse, le tourisme et l’activité aéroportuaire sont quant à eux restés autant en difficulté dans le Val-d’Oise qu’au plan francilien.

Décembre 2021

1er trimestre 2021

L’attentisme toujours de rigueur début 2021 dans le Val-d’Oise

La situation économique dans le département au début de 2021 n’a pas été meilleure que celle constatée en 2020. Les données les mieux orientées (créations d’entreprises, défaillances) doivent être analysées avec prudence, notamment du fait du poids des micro-entrepreneurs et de l’impact des aides publiques sur la santé de nombreuses structures économiques.

Parallèlement, l’heure a été à la stabilité en matière de taux de chômage et d’emploi. Les difficultés actuelles frappent également et lourdement l’activité touristique et aéroportuaire dans le Val d’Oise.

Le département, riche de sa jeunesse et de ses capacités d’innovation, aura besoin d’une mobilisation enthousiaste pour passer cette étape difficile et s’appuyer sur les projets de développement récemment présentés par l’Etat.

Septembre 2021

 

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Pierre de RICAUD

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Tableau de bord départemental du Val-d'Oise - 2022

Soumis par npagnoux le jeu 30/03/2023 - 08:47
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4ème trimestre 2022

Les résultats économiques toujours fragiles dans le Val-d’Oise fin 2022

Même si la tendance baissière du taux de chômage départemental n’est pas remise en cause et même si le nombre de créations d’entreprises est resté important fin 2022, les résultats économiques constatés dans le Val-d’Oise sont restés fragiles au 4e trimestre 2022.

La part importante des micro-entrepreneurs dans les créations d’entreprises, le nombre de défaillances engagé sur une pente ascendante depuis deux ans, la fréquentation hôtelière toujours inférieure à ses niveaux d’avant la crise sanitaire et les volumes hésitants des surfaces de locaux autorisés ou commencés appellent à une nouvelle ambition de développement économique dans le département ; celle-ci pourrait s’appuyer sur d’ambitieux projets (Agoralim), des grands évènements à venir (Jeux olympiques de 2024), des infrastructures en construction (ligne 17, possible ligne 19, etc.) ou la volonté de renforcer l’attractivité du Val-d’Oise.

Juin 2023

 

3ème trimestre 2022

Un dynamisme encore faible dans le Val-d’Oise, en attente de projets innovants

Le Val-d’Oise est resté relativement dynamique au 3e trimestre 2022 ; en témoignent un taux de chômage en baisse, un niveau d’emploi salarié en hausse et un nombre de créations d’entreprises qui augmente.

Cependant, ces constats ne peuvent, ni ne doivent engager à trop d’optimisme : en effet, le tissu économique semble fragile, les défaillances d'entreprises en hausse en sont encore la preuve. Quant aux perspectives à court terme, elles ne sont pas davantage favorables : il en est ainsi de la construction et des locaux autorisés ou commencés ; de même, l’activité hôtelière ne reprend que très lentement depuis la pandémie. L’activité économique du département a probablement besoin de projets nouveaux et innovants pour soutenir son développement.

Mars 2023

 

2ème trimestre 2022

Les interrogations perdurent dans le Val-d’Oise

Les trimestres se suivent et se ressemblent dans le Val-d’Oise, du moins s’agissant des données économiques des deux premiers trimestres de 2022. Ainsi les interrogations et les incertitudes apparues début 2022 ont semblé perdurer au printemps dernier. Certes, certains indicateurs, tels l’emploi ou la construction de d’immobilier d’entreprise, sont « au vert » ; d’autres, en revanche, sont le reflet d’une situation fragile et contrastée : un taux de chômage qui ne réduit plus, un niveau de créations d’entreprises qui diminue, un « retour à la normale » de la fréquentation hôtelière encore incomplet et trop lent. Dans ce contexte, la vigilance est de mise et la mobilisation de tous nécessaire.

Novembre 2022

 

1er trimestre 2022

L’activité économique du Val-d’Oise interroge et s’interroge

Début 2022, le bilan économique dans le Val-d’Oise est resté assez contrasté et sujet à quelques interrogations, certains indicateurs pouvant être interprétés de différentes façons.

Il en est ainsi du niveau stable des créations d’entreprises « classiques » (+ 1,0 %) tandis que le nombre de micro-entrepreneurs s’est réduit de 15,6 % ; de même, le moindre recours à l’intérim est-il le signe d’une stabilisation de l’activité et de l’emploi (alors que le chômage baisse et l’emploi monte clairement) ou au contraire celui d’un ralentissement de certaines fonctions économiques ?

Lorsque les défaillances d’entreprises augmentent (+ 53,0 %), ne sont-ce pas la suppression des aides de ces deux dernières années et un apurement qui affecte plus particulièrement certaines entreprises fragiles ou récemment créées ? Et ce, alors que l’activité hôtelière comme la construction semblent être favorablement orientées.

Auteurs : Mickaël LEPRIOL, Pierre de RICAUD

Septembre 2022

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4e trimestre 2022
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Tableau de bord départemental de la Seine-Saint-Denis - 2020

Soumis par npagnoux le jeu 30/03/2023 - 08:27
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4ème trimestre 2020

L’économie séquano-dyonisienne a bien résisté fin 2020

La reprise économique amorcée à l'été 2020 a semblé se poursuivre au 4e trimestre. Les créations d'entreprises ont continué à augmenter (+ 33,2 %).

L'emploi salarié, bien que ralenti, est resté favorablement orienté dans le département (+ 0,2 %) et ce, dans tous les secteurs, alors même qu'il a régressé en Ile-de-France. Parallèlement, la construction de locaux a été dynamique ; les autorisations de construire ont enregistré une hausse importante par rapport au 4e trimestre 2019 (+ 28,0 %) et 179 709 m² ont été mis en chantier soit 17,7 % du total francilien.

Cette situation favorable en façade est à nuancer ; certains indicateurs, à l'instar du taux de chômage et des défaillances d'entreprises, ont reculé mais cela tient plus à la définition du premier et aux aides publiques encore délivrées aux entreprises pour le second.

Juillet 2021

 

3ème trimestre 2020

Un léger sursaut estival terni par la remontée du chômage

L'été 2020 a été marqué par des signes relativement encourageants de dynamisme économique en Seine-Saint-Denis. Celui-ci est porté essentiellement par les créations d'entreprises qui ont fortement augmenté (+ 38,6 %). L'emploi a également été orienté à la hausse (+ 1,8 %), principalement dans la construction et le tertiaire et grâce à l'emploi intérimaire (+ 19,3 %).

Néanmoins, le taux de chômage de la Seine-Saint-Denis a crû de près de 3,0 points après des années de baisse. Parallèlement, les mises en chantiers et les surfaces de locaux autorisés à construire se sont nettement repliées. Les défaillances d'entreprises sont malgré tout restées orientées à la baisse (- 33,4 %) mais nombreux sont les établissements soutenus par les dispositifs temporaires d'aides publiques… Qu'en sera-t-il quand cesseront ces mesures ?

 

2e trimestre 2020

8 semaines de confinement et des conséquences lourdes pour la Seine-Saint-Denis

Les signes annonciateurs d'une crise économique majeure se sont confirmés après la période de confinement qui a provoqué un arrêt quasi-complet des activités. Ainsi, les créations d'entreprises ont fortement reculé en Seine-Saint-Denis.

Parallèlement, peu de chantiers ont pu débuter : seuls 42 159 m² ont été mis en chantier et les surfaces autorisées à construire ont également diminué. L'emploi a été fortement affecté même si les secteurs de l'industrie et de la construction sont restés favorablement orientés sur un an (respectivement + 7,5 % et + 4,5 %).

Cette crise, sans précédent, n’a toutefois pas encore dévoilé toute sa profondeur : des évolutions favorables trompeuses ont encore été enregistrées, à l'instar de celle du taux de chômage, au plus bas depuis 2008, et du recul des défaillances d'entreprises.

 

1er trimestre 2020

Début de crise sanitaire : impacts immédiats en Seine-Saint-Denis

La dynamique positive aurait pu se poursuivre en Seine-Saint-Denis sans la crise sanitaire et ses conséquences immédiates sur l'économie. Certes, la baisse des défaillances d'entreprises s'est poursuivie dans le département et la Seine-Saint-Denis a été le seul département à enregistrer une hausse très importante des surfaces autorisées à construire.

Mais, déjà, les deux premières semaines du confinement national ont eu des répercussions : les créations d'entreprises ont cessé d'augmenter, surtout les micro-entrepreneurs (- 26,3%), les chantiers se sont arrêtés (le département n'a représenté que 5,1% du total régional des mises en chantiers) et l'emploi salarié a été très affecté. Il n'y a pas encore eu d'impact sur le taux de chômage qui a continué à se réduire « artificiellement », du fait de la non disponibilité des chômeurs.

 

Auteurs : Mickaël LE PRIOL - Audrey DEROUEN-MARINO

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Tableau de bord départemental de la Seine-Saint-Denis - 2021

Soumis par npagnoux le jeu 30/03/2023 - 08:10
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4ème trimestre 2021

Quelques signes de fléchissement pour la Seine-Saint-Denis fin 2021

La reprise économique a semblé se poursuivre au 4e trimestre 2021 même si les créations d'entreprises se sont repliées (- 16,8 % par rapport à la même période de 2020).

Porté par l’intérim et la construction, l'emploi salarié départemental est supérieur de 1,9 % à son niveau d’avant la crise sanitaire.

Cette situation favorable en façade reste à nuancer, à l'instar des défaillances d'entreprises qui ont reculé mais grâce au maintien des aides publiques dont bénéficient encore certaines entreprises.

De même, la construction de locaux a subi une baisse conséquente : les autorisations de construire ont enregistré une baisse de 37,7 % par rapport au 4e trimestre 2020 même si les 116 638 m² mis en chantier dans le même temps n’en ont pas moins représenté 14,2 % du total francilien.

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Benoist ANCELIN

Mai 2022

3ème trimestre 2021

Une période estivale tempérée économiquement en Seine-Saint-Denis

Le département de la Seine-Saint-Denis a globalement écrit une copie similaire du trimestre précédent mais très différente de l’année antérieure.

L’appréciation globale est en demi-teinte et la reprise ne repose que sur des frémissements. L’évolution du nombre de défaillances d’entreprises dans le département (- 16.8 % par rapport au même trimestre de 2020) a constitué une note positive ; en revanche, le nombre de créations d’entreprises a baissé (- 19,5 % en glissement annuel) du fait du net repli du nombre de nouveaux micro-entrepreneurs (les créations d’entreprises « classiques » ont parallèlement augmenté de 2,5 %).

Si l’emploi a continué sa progression, le taux de chômage est resté stable dans le département. Il est à noter que, même s’il a retrouvé des couleurs, le secteur hôtelier est toujours dans une période difficile.

Auteurs : Benoist ANCELIN, Mickaël LE PRIOL

Mars 2022

2e trimestre 2021

Des signes encourageants mais fragiles en Seine-Saint-Denis

La situation économique s'est améliorée au cours du 2e trimestre 2021 en Seine-Saint-Denis. Ainsi, par rapport au 2e trimestre 2020, le nombre de créations d'entreprises a augmenté de 37,3 % dans le département, le chômage s’est réduit de 0,1 point et l'emploi a augmenté de 0,7 % par rapport au trimestre précédent ; les évolutions sectorielles de l’emploi révèlent même une importante progression dans l'industrie et dans la construction par rapport aux niveaux d'avant-crise.

Pour la construction, cette hausse de l’emploi est corrélée à l'augmentation observée dans la mise en chantier d’immobilier d’entreprise (+ 13,8 % par rapport au 2e trimestre 2019). Toutefois, ce dynamisme est atténué par le repli conséquent des autorisations de construire accordées (- 72,4 % par rapport au 2e trimestre 2019), faisant de la Seine-Saint-Denis le département le plus affecté d'Ile-de-France.

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Audrey DEROUEN-MARINO

Décembre 2021

1er trimestre 2021

Un 1er trimestre 2021 en demi-teinte en Seine-Saint-Denis

Les indicateurs économiques ont bien traduit au cours du 1er trimestre 2021, pris entre deux confinements, l’incertitude de nouveau grandissante.

Nos voisins européens se sont reconfinés et le trafic aérien n'a pas repris (- 77,9 % à Roissy par rapport à début 2020). Le taux de chômage a stagné à 11,1 % mais les mesures de chômage partiel, toujours de mise dans certains secteurs, ont probablement dissimulé les difficultés du marché du travail.

Pourtant, l'emploi a poursuivi sa progression (+ 0,3 % par rapport au trimestre précédent). Porté par les microentrepreneurs, le nombre de créations d'entreprises a fortement augmenté. La baisse des défaillances d'entreprises s'est poursuivie même si elle est à nuancer compte-tenu des aides publiques toujours versées.

Enfin, alors que les surfaces autorisées à construire ont reculé de 10,3 %, les chantiers ont repris (64 843 m² ont été engagés).

Auteurs Mickaël LE PRIOL, Audrey DEROUEN-MARINO

Septembre 2021

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Tableau de bord départemental de la Seine-Saint-Denis - 2022

Soumis par npagnoux le jeu 30/03/2023 - 07:56
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4ème trimestre 2022

Des signaux encourageants en Seine-Saint-Denis malgré une tendance au ralentissement

La fin de l’année 2022 a été marquée par des signes relativement encourageants pour l’économie en Seine-Saint-Denis. Ceux-ci se sont matérialisés par des créations d'entreprises en hausse (+ 16,2 %) ainsi que par des mises en chantiers et des autorisations de construire favorablement orientées sur un an (respectivement + 12,9 % et + 64,6 %).

Néanmoins, le nombre de défaillances d'entreprises dans le département, même s’il reste encore limité comparativement à ses niveaux d’avant la pandémie, a continué à augmenter fin 2022. P

ar ailleurs, malgré la reprise en cours, le nombre de nuitées hôtelières est resté inférieur de 6,2 % à son niveau du 4e trimestre 2019 et l’emploi salarié est seulement resté stable par rapport au trimestre précédent.

Le département conserve le troisième taux de chômage le plus élevé de France métropolitaine (10,1 %) après l’Aisne (10,3 %) et les Pyrénées-Orientales (11,7 %).

Juin 2023

 

3ème trimestre 2022

Moins soutenue, la reprise économique continue malgré tout de s’affirmer

Dans la continuité des trimestres précédents, la reprise de l’activité économique en Seine-Saint-Denis a semblé se confirmer, notamment grâce aux nouveaux microentrepreneurs (+ 17,9 %) ; le département est, depuis 2020, l’un des plus dynamique en Ile-de-France en matière de création d’entreprises.

Parallèlement, l’emploi a poursuivi sa progression et le taux de chômage est retombé à 10,2 %. En revanche, même s’il est resté limité comparativement à celui d’autres départements de la région, le nombre de défaillances d'entreprises a continué à augmenter (+ 9,4 % par rapport au 3e trimestre 2021).

La construction de locaux a subi une importante baisse : les autorisations de construire ont notamment diminué de 17,6 % par rapport au 3e trimestre 2021 et les mises en chantier se sont repliées dans le même temps de 53,0 %.

Mars 2023

2ème trimestre 2022

Des évolutions hésitantes en Seine-Saint Denis

Dans un contexte se détériorant, les évolutions économiques ont été hésitantes au 2e trimestre 2022 en Seine-Saint-Denis. Ainsi, les créations d'entreprises ont ralenti (- 3,3 % par rapport à la même période de 2021) tandis que les défaillances d'entreprises ont augmenté de 15,3 % par rapport au 1er trimestre 2021.

Au plan sectoriel, les autorisations de construire ont enregistré une augmentation de 128,5 % par rapport au 1er trimestre 2021 mais les 63 010 m² mis en chantier dans le même temps n’ont représenté que 6,3 % du total francilien, soit la plus faible part départementale. Le principal élément favorable est venu de l’emploi salarié départemental : porté par le tertiaire marchand et la construction, il est désormais supérieur de 3,9 % à son niveau d’avant la crise sanitaire.

Novembre 2022

1er trimestre 2022

Des signaux encourageants pour la Seine-Saint-Denis début 2022

La reprise économique a semblé se poursuivre au 1er trimestre 2022 même si les créations d'entreprises se sont repliées (- 10,4 % par rapport à la même période de 2021). Porté par le tertiaire marchand et la construction, l'emploi salarié départemental est désormais supérieur de 3,6 % à son niveau d’avant la crise sanitaire.

Cette situation favorable se confirme par les défaillances d'entreprises qui ont encore une fois reculé. En revanche, la construction de locaux a subi une baisse conséquente : les autorisations de construire ont enregistré une baisse de 63,8 % par rapport au 1er trimestre 2021 même si les 185 401 m² mis en chantier dans le même temps n’en ont pas moins représenté près d’un quart du total francilien.

Septembre 2022

 

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Benoist ANCELIN

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4e trimestre 2022
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