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Baromètre de l'activité des salons en Île-de-France en 2022

Soumis par sfournier le lun 09/05/2022 - 08:33
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Année 2022
Nette reprise et signaux encourageants pour 2023

Les salons franciliens ont enregistré de bons résultats sur l’année 2022, même si l’activité n’a pas encore totalement retrouvé les niveaux d’avant la crise sanitaire. La tendance, nettement orientée à la hausse, constitue un signal encourageant. La fin de la politique « zéro Covid » en Chine devrait être synonyme de retour des clientèles chinoises sur les salons franciliens en 2023.

4ème trimestre 2022
Une pause dans le rebond de l’activité des salons

Les salons professionnels ont enregistré de meilleurs résultats au 4ème trimestre 2022 qu’au 3ème trimestre. Néanmoins, la reprise reste fragile depuis le début de l’année sur ce segment. Le rebond vigoureux de l’activité des salons grand public observé depuis le 1er trimestre s’est atténué au 4ème trimestre. La participation des visiteurs a sensiblement baissé sur le segment grand public.

9 premiers mois de 2022
La reprise est enclenchée

Les salons franciliens ont enregistré de bons résultats sur les 9 premiers mois 2022, même si l’activité n’a pas encore retrouvé les niveaux d’avant la crise sanitaire. La tendance, nettement orientée à la hausse, constitue un signal encourageant. Bien qu’aucun salon n’ait été annulé au cours du semestre écoulé, l’impact de la crise reste non négligeable.

3ème trimestre 2022
Les salons grand public tirent leur épingle du jeu

Les salons grand public, qui accueillent essentiellement une clientèle francilienne ou nationale ont enregistré de bons résultats au 3ème trimestre et sont désormais proches d’avoir retrouvé leur niveau d’avant crise sanitaire. Les salons professionnels internationaux confirmés, certes toujours impactés par le plus lent retour de leur clientèle étrangère lointaine, sont également dans une phase de reprise mais moins dynamique.

1er semestre 2022
une nette amélioration après
2 années difficiles

Les salons franciliens ont enregistré de bons résultats au 1er semestre 2022, même si l’activité n’a pas retrouvé les niveaux d’avant la crise sanitaire. La tendance, nettement orientée à la hausse, constitue un signal encourageant. Bien qu’aucun salon n’ait été annulé au cours du semestre écoulé, l’impact de la crise demeure significatif.

2ème trimestre 2022
une activité dynamique en particulier
pour les salons professionnels

Les salons professionnels ont enregistré des résultats très encourageant. La participation des exposants et la surface nette occupée par les stands, bien que toujours en retrait, s’approchent doucement des niveaux observés avant la crise. La fréquentation des visiteurs est, quant à elle, toujours impactée par le lent retour de la clientèle internationale lointaine. Le redressement de l’activité des salons grand public se poursuit bien plus lentement.

1er trimestre 2022
Le rebond de l’activité se poursuit, grâce aux salons grand public

Les salons grand public ont enregistré de bien meilleurs résultats au 1er trimestre 2022 que lors des sept précédents trimestres. Cela s’explique par le fait qu’ils bénéficient d’une clientèle beaucoup plus locale et nationale.

Les salons professionnels, en particulier les internationaux confirmés, restent pénalisés par une clientèle lointaine qui peine à revenir. Leur activité au 1er trimestre 2022 s’est même révélée moins bonne que fin 2021, tout en restant supérieure à celle enregistrée au 3ème trimestre 2021. Bien qu’aucun salon n’ait été annulé au cours du trimestre écoulé, l’impact de la crise sanitaire demeure significatif. En effet, le nombre d’exposants et de visiteurs, en particulier étrangers, est encore loin d’être revenu aux niveaux observés avant la pandémie.

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Indicateur d'activité des salons en Île-de-France en 2021

Soumis par cfaure le jeu 18/03/2021 - 16:43
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Année 2021 :
seulement 4 mois d’activité

Aucun salon n’a eu l’autorisation de se tenir en présentiel dans les 21 principaux sites d’exposition et de congrès franciliens entre janvier et mi-juin 2021. Puis est venu le temps de la pause estivale, période habituellement sans manifestations.

Une fin d’année 2021 encore loin des niveaux de 2019

Après une reprise d’activité dans des formats réduits en septembre, les salons ont enregistré de meilleurs résultats au 4ème trimestre. Globalement, l’année 2021 affiche des résultats proches de ceux de 2020.

Un impact économique considérable pour 2021

Le coût économique de la crise sanitaire, déjà important en 2020 pour le secteur, est là encore très conséquent en 2021.

Impact éco salons 2021 V7
Source : CCI Paris Île-de-France

 

_______________

 

4e trimestre 2021 :
un net redressement de l’activité

Après une reprise d’activité dans des formats réduits au 3e trimestre, les salons ont enregistré de meilleurs résultats au 4e trimestre.

Un rebond notable de l’activité pour les salons professionnels

Tous les indicateurs (fréquentation des visiteurs et exposants, surface nette occupée par les stands) enregistrent les meilleurs résultats depuis janvier 2020 (cf. graphique). L'activité demeure toutefois en retrait par rapport à celle constatée en 2019.

Évolution des indicateurs trimestriels d’activité des salons professionnels franciliens (2019 à 2021)

graph 4T 2021
Source : CCI Paris Île-de-France

 

Si les salons ne sont finalement pas concernés par les jauges mises en place début janvier par le gouvernement, le variant Omicron pourrait affecter la venue des clientèles françaises et européennes de proximité. Cette situation délicate a conduit les organisateurs à reporter à mars ou juin certains salons initialement prévus en janvier.

3e trimestre 2021 :
une reprise d’activité encourageante

Bonne nouvelle : 51 salons se sont tenus à Paris Île-de-France au 3e trimestre 2021, soit autant qu’au 3e trimestre 2019. Toutefois, ces manifestations se sont déroulées dans des formats réduits. L’activité des salons professionnels a quasiment été divisée par deux. Les manifestations professionnelles accueillant une forte proportion de clientèle étrangère ont naturellement davantage été impactées. Les salons grand public, pénalisés par un pourcentage d’annulation plus important, ont quant à eux connu une rentrée plus poussive. Enfin, 17 salons ont proposé une formule hybride à leurs clients.

Nous comparons le 3e trimestre 2021 par rapport au 3e trimestre 2019 (cf. méthodologie) qui avait été exceptionnel. Cela peut donner l’impression que l’activité au 3e trimestre 2021 est très basse, alors que le secteur est dans une dynamique de reprise. Le retour à la situation d’avant la crise sanitaire prendra du temps et dépendra notamment du retour de la clientèle étrangère.

impact éco salons 2021
Source : CCI Paris Ile-de-France
Données actualisées le 15 octobre 2021

 

2e trimestre 2021 :
une reprise de l’activité progressive

Aucun salon francilien n’a eu l’autorisation de se tenir en version « physique » entre avril et mi-juin 2021. Seulement six ont eu lieu dans la seconde quinzaine de juin. Pas moins de 69 ont été annulés au 2ème trimestre 2021. De ce fait, le média salon a connu une chute d’activité de plus de 90 % sur le trimestre. Pour l’ensemble de l’année 2021, 154 salons en présentiel n’ont pas pu se tenir.

1er trimestre 2021 :
une année 2021 aussi sombre que 2020 ?

Aucun salon francilien n’a eu l’autorisation de se tenir en version « physique » au 1er trimestre 2021. De ce fait, le média salon a connu une chute d’activité de 100 %. Pour 2021, 100 salons en présentiel ont été à ce jour annulés. Parmi ceux-ci, 55 ont eu (ou vont avoir) lieu en version digitale. L’impact économique de la crise sanitaire est donc déjà considérable pour 2021 : 1,6 milliard € de retombées économiques perdues pour le territoire et 5,7 milliards € de ventes non réalisées entre exposants et visiteurs. Néanmoins, les professionnels s’organisent pour une reprise d’activité pour la rentrée de septembre 2021. Selon une enquête du Leads, les entreprises sont plus que jamais impatientes d’exposer à nouveau sur les salons « physiques ».

 

Auteur : Jean-Marie Nays

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La RSE : un champ à investir pour la viabilité de son entreprise

Soumis par ibrunetdebaines le lun 13/11/2023 - 11:27
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La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) englobe toutes les pratiques et actions des entreprises ayant un impact positif sur la société, sans pour autant perdre de vue leurs objectifs économiques. Que recouvre précisément la RSE ? Pourquoi s’y engager ou renforcer ses actions ? Comment valoriser ses pratiques responsables ? Tour d’horizon.

Principaux domaines d’action de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE)

La RSE fait référence à la manière dont les entreprises intègrent les préoccupations sociales, environnementales et sociétales dans leurs activités et dans leurs interactions avec les parties prenantes : salariés, clients, fournisseurs, partenaires financiers, communauté locale… et plus généralement la société dans son ensemble.

La RSE s’appuie sur 4 axes majeurs sur lesquels l’entreprise peut et doit agir :

  • L'environnement
    Les entreprises doivent décrire leurs impacts sur l'environnement et les actions mises en oeuvre pour les réduire « Concrètement, il s’agit des mesures prises pour limiter les consommations d'énergie et de produits polluants, réduire les déchets, décarboner, économiser les ressources naturelles… » explique Pierre-Olivier Viac, responsable Transition écologique à la CCI Paris Ile-de-France.

  • Le social
    Les actions peuvent concerner la qualité de vie au travail, la prévention des risques professionnels, la mobilité et les déplacements des salariés, la promotion de la diversité et de l'inclusion, l'équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, les mesures incitatives pour fidéliser et motiver les salariés... « Le champ d’action est vaste ! »

  • L'économique
    Les entreprises doivent être économiquement viables tout en générant une valeur ajoutée pour la société. « L'entreprise se situe au coeur d'un écosystème avec des fournisseurs et des clients, et elle doit agir de manière responsable avec ses partenaires. Les notions de satisfaction clients et d'achats responsables seront par exemple traitées dans cette partie. » souligne Pierre-Olivier Viac.

  • Le sociétal
    Les entreprises, particulièrement les TPE-PME, sont intégrées à leur territoire, créent des emplois et de la valeur ajoutée localement, attirant ainsi d’autres activités économiques mais aussi sociales, culturelles... Un cercle vertueux pour le développement harmonieux du territoire ! « Il ne faut pas oublier que, réciproquement, le territoire peut aussi être source d'opportunités et de développement pour ses entreprises. C'est cette interaction et ces partenariats locaux qui entrent en ligne de compte et seront mis en avant. »

Pourquoi s’engager dans une démarche de RSE ?

La RSE est devenue de plus en plus importante pour les PME, en particulier car leurs clients ont accru leur attention sur les questions environnementales et sociales. De nombreuses entreprises adoptent donc des pratiques de RSE pour répondre à ces attentes, mais aussi pour :

  • améliorer leur réputation et leur image
  • attirer et fidéliser les clients
  • faciliter les recrutements
  • motiver et fidéliser leurs salariés
  • favoriser des investissements durables
  • se conformer aux réglementations
  • acquérir des avantages compétitifs
  • etc.

« La RSE va ainsi contribuer à la viabilité à long terme de l’entreprise. Il est donc devenu indispensable, non seulement de s’engager dans la RSE, mais aussi de faire connaître ses actions. » insiste Pierre-Olivier Viac.

La directive européenne CSRD sur le reporting social et environnemental va encore accélérer cette tendance car si la plupart des PME ne sont pas directement concernées par cette nouvelle obligation, elles devront néanmoins fournir des données à leurs donneurs d’ordre et seront invitées à faire un reporting de manière volontaire.

Comment renforcer ses actions RSE et les valoriser ?

Intégrer une démarche RSE dans le fonctionnement de son entreprise implique de mesurer et d’évaluer l’impact de ses activités en matière sociale et environnementale. Il existe de nombreuses normes (ISO 26000) et cadres d'évaluation proposés par des organismes (Ecovadis, Afnor, Véritas...) en matière de RSE. Des rapports RSE peuvent également être produits pour décrire les actions mises en place et les résultats obtenus.

« La plupart des PME font déjà de la RSE sans le savoir ! Mais c'est souvent mal formalisé, affirme Pierre-Olivier Viac. Pour vous en rendre compte, réalisez un Flash Diag RSE en 1 minute chrono. Vous réaliserez que vous ne partez pas de zéro et qu’il faut le faire savoir ! »

La CCI Paris Ile-de-France peut vous accompagner dans votre démarche RSE. « Le diagnostic RSE réalisé par les conseillers de la CCI permet d'identifier toutes les actions déjà mises en place dans l'entreprise sur l'ensemble des volets de la RSE et de proposer des actions complémentaires, si nécessaire, pour arriver à un plan d'action RSE complet et crédible. »

« Si l'entreprise veut ensuite aller plus loin, nous pouvons aussi lui proposer, avec notre partenaire Bureau Véritas, un accompagnement plus poussé et une évaluation pour bénéficier d'un scoring et pouvoir se comparer avec les autres entreprises. »

Découvrir le Diagnostic RSE

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Que recouvre précisément la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) ? Pourquoi s’y engager ou renforcer ses actions ? Comment valoriser ses pratiques responsables ?
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La transition écologique dans les entreprises industrielles : une nécessité

Soumis par ibrunetdebaines le lun 23/10/2023 - 14:28
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Urgence climatique, nouvelles règlementations, coût de l’énergie, raréfaction des matières premières, aspirations des jeunes générations… la transition écologique et énergétique est devenue une nécessité pour toutes les entreprises, particulièrement dans le secteur industriel. Impératif à la fois économique et sociétal, l’engagement des industries est non seulement bénéfique pour l'environnement, mais aussi pour leur rentabilité et leur viabilité à long terme. Mais concrètement, comment agir, par où commencer, quels leviers actionner ?

Pourquoi les entreprises industrielles doivent s'engager dans la transition écologique ?

Plusieurs facteurs incitent, voire obligent, les industriels à s'engager dans la transition écologique :

  • La production industrielle a bien souvent un impact négatif sur l'environnement. « En France, l’industrie représente par exemple 18 % des émissions de à effet de serre. Elle peut également être à l’origine de diverses pollutions. Les entreprises concernées doivent donc agir pour réduire au maximum cet impact. » explique Vivien Lacone, responsable Compétitivité à la CCI Paris Ile-de-France.

  • De nombreuses réglementations sont mises en place pour limiter la pollution, réduire les émissions de CO2et protéger la biodiversité. « Les entreprises industrielles doivent donc s’y conformer pour éviter des sanctions, notamment financières, et des atteintes à leur image qui peuvent détourner les consommateurs de leurs produits mais aussi nuire à leur capacité à attirer des talents. »

  • Les mesures en faveur de la transition écologique peuvent permettre de réaliser des économies non négligeables à court, moyen et long terme. « En améliorant l'efficacité énergétique de leurs locaux et équipements, en optant pour la sobriété, en luttant contre les gaspillages ou encore en adoptant des technologies moins énergivores, les industriels peuvent réduire leur consommation d'énergie et de matières premières, optimiser leurs processus de production… et ainsi réduire leurs coûts. » ajoute-t-il.

  • De plus en plus d'investisseurs et d'organismes financiers intègrent des critères environnementaux et sociaux dans leurs décisions d'investissement. « Les entreprises industrielles engagées dans la transition écologique augmentent ainsi leurs chances d'accéder à des financements. »

  • Les industriels qui adoptent des pratiques durables renforcent leur image et leur attractivité auprès d’une population de plus en plus sensible aux enjeux environnementaux. « Cet engagement pourra non seulement leur permettre d’accroitre leur clientèle, en BtoC comme en BtoB, mais aussi de faciliter leurs recrutements et de fidéliser leurs collaborateurs. Un impact à ne pas négliger à un moment où il est de plus en plus difficile de trouver des candidats dans les métiers techniques, de l’informatique et l’ingénierie notamment ! »

Comment les PMI peuvent-elles amorcer leur transition écologique ?

La transition écologique des entreprises industrielles est un processus complexe, mais dans lequel elles doivent s’engager sans tarder. « Pour les PMI-TPI qui n’ont pas les ressources internes nécessaires pour mener à bien un tel chantier, il est conseillé de se faire accompagner pour définir un plan d’actions et bénéficier des aides financières mobilisables. » insiste Pierre-Olivier Viac, responsable Transition écologique à la CCI Paris Ile-de-France.

Il nous livre quelques pistes pour entamer ce processus :

  • La première étape consiste à évaluer l'impact environnemental de l'entreprise. « La CCI Paris Ile-de-France propose aux PMI franciliennes un diagnostic gratuit qui analyse les consommations d'énergie, les émissions de gaz à effet de serre, la mobilité, les possibilités de décarbonation, la gestion des déchets, les pollutions éventuelles… Il permet également d'identifier les aides et dispositifs existants. »

  • Il s’agit ensuite de définir des objectifs clairs et mesurables comme la réduction des émissions de CO2, la diminution de la consommation d'eau, l’utilisation d’énergies décarbonées, l’accroissement du recyclage, etc. « Là encore, le diagnostic proposé par la CCI vous permettra d’identifier les actions à mettre en œuvre pour atteindre ces objectifs. Et il vous orientera vers les solutions les plus adaptées proposées par les acteurs publics : ADEME, Bpifrance, Chambres de commerce et d’industrie et Chambres de métiers. »

  • Il est également important de sensibiliser tous les collaborateurs à la transition écologique, en mettant en place des sessions de formation sur les pratiques durables et la nécessité de tendre vers le zéro gaspi et la sobriété.

  • Parmi les mesures à adopter, la réduction de la consommation d'énergie fossile est cruciale. Les PMI peuvent agir sur plusieurs fronts : surveiller et optimiser la consommation d'énergie, investir dans des équipements ou technologies plus économes en énergie et utiliser des sources d'énergie renouvelable. « Une multitude d’actions sont envisageables, certaines nécessitant de lourds investissements tandis que d’autres s’appuient sur de simples modifications des habitudes et usages. Citons pêle-mêle : l’isolation des bâtiments, les dispositifs de régulation, les éco-gestes, la mise en veille des équipements, la baisse ou l’extinction du chauffage et de la climatisation dès que c’est possible, le remplacement d’équipements énergivores par des technologies plus sobres, la substitution des énergies carbonées par des énergies décarbonées, la récupération des gisements de chaleur… La liste des possibilités est longue et s’adapte aux activités de chaque PMI. »

  • La gestion des déchets et le choix des matériaux utilisés dans le processus de production, peuvent aussi contribuer significativement à la diminution de l'impact environnemental des industriels. « En effet, réduire, en particulier les emballages, réutiliser et recycler les déchets, ne sont pas des mesures anodines en termes écologiques mais aussi économiques. Opter pour des matériaux durables, recyclés ou biodégradables reste également une piste à explorer. »

N’hésitez pas à faire appel à nos experts en industrie ou en transition écologique. Ils sauront vous conseiller et vous accompagner dans cette démarche vertueuse sur le plan environnemental et bénéfique pour la rentabilité et la viabilité de nos PMI.

En savoir plus sur le diagnostic de transition écologique des PMI

 

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Nécessité pour les entreprises industrielles, la transition écologique est un Impératif à la fois économique et sociétal. Concrètement, comment agir, par où commencer, quels leviers actionner ?
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Les Fonds européens à la CCI Paris Ile-de-France

Soumis par ibrunetdebaines le mar 03/10/2023 - 09:24
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L’Union européenne a notamment pour objectif de contribuer à la croissance économique des territoires et de l’emploi. Dans cette optique, elle finance, soit directement soit par l’intermédiaire de structures nationales ou régionales, des actions et projets d’appui aux entreprises, de promotion de l’entrepreneuriat, de développement de l’emploi, de transition écologique… La CCI Paris Ile-de-France est un maillon important de ce dispositif de soutien financier à plusieurs titres.

La CCI Paris Ile-de-France, organisme intermédiaire pour l'affectation des fonds structurels européens

Deux fonds européens disponibles

La Région Ile-de-France dispose d’une enveloppe de fonds européens de 413,3 millions d’euros : 177,7 M€ consacrés au FEDER et 235,6 M€ au FSE+.

  • Le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) est principalement axé sur l’accroissement du potentiel scientifique, le développement du numérique, ainsi que sur la croissance et la compétitivité des entreprises, le soutien à la transition énergétique, le développement de l’économie circulaire et la biodiversité.

  • Le Fonds Social Européen (FSE+), quant à lui, met l’accent sur l’accès à l’emploi, la création d’activité, la formation professionnelle et la lutte contre le décrochage scolaire.

Trois objectifs

La région Ile-de-France a attribué à la CCI Paris Ile-de-France une enveloppe de 13 millions d’euros de fonds FEDER et FSE+ dans le cadre financier pluriannuel de 2021-2027. Sa mission s'articule autour de trois objectifs :

1- Le premier objectif de la CCI Paris Ile-de-France concerne l’accompagnement à la création d’entreprises innovantes et aux enjeux d’innovation et de transition environnementale et numérique des PME. Cet objectif mobilise 3 M€ du fonds FEDER.

2- Le deuxième objectif porte sur l’accompagnement à l’entreprenariat (création d'entreprise et post-création), l’amélioration de l'accès à l’emploi et aux mesures d’activation pour tous les demandeurs d’emploi, en particulier les jeunes, les chômeurs de longue durée, les groupes défavorisés sur le marché du travail et les inactifs. Cet accompagnement à l’emploi et à l’entreprenariat passe par :

  • le soutien aux dispositifs sur l’orientation et l’information sur l’entreprenariat
  • le soutien aux structures d’accompagnement qu’elles soient individuelles ou collectives

6 M€ de l’enveloppe FSE+ dont dispose la CCI Paris Ile-de-France sont alloués à l’accomplissement de cet objectif.

3- Le dernier objectif confié à la CCI concerne l’accompagnement des entreprises, des branches professionnelles ou des territoires dans l’anticipation des transitions et des mutations tout au long de la vie en augmentant les possibilités de renforcement des compétences et de reconversion professionnelle. Cet objectif mobilise 4 M€ de l’enveloppe FSE+.

L’allocation de cette enveloppe de 13 M€ s’effectue sous forme d’appels à projets lancés par la CCI Paris Ile-de-France, publiés sur le site de la Région Ile-de-France et ouverts à toutes structures possédant une personnalité morale indépendante de la CCI Paris Ile-de-France.

Les projets de la CCI Paris Ile-de-France financés par les fonds structurels régionaux et nationaux

La CCI Paris Ile-de-France porte également des projets financés par les fonds structurels en réponse à des appels à projets publiés, soit par la Région Ile-de-France (pour le FEDER et le FSE+), soit par la DRIEETS Ile-de-France qui bénéficie d’une enveloppe de 304 M€ au titre du FSE+.

Plusieurs projets sont actuellement mis en œuvre dans le cadre de ces financements :

  • Entrepreneur#LEADER : projet d’accompagnement à la création d’entreprise et du dirigeant de jeune entreprise financé par le FSE+ de la Région.
  • Objectif Recrut’ : projet d’accompagnement des directeurs RH pour le recrutement dans les métiers en tension, financé par le FSE+ de la DRIEETS.
  • Compétences commerce : projet d’accompagnement des commerçants à l’accueil de la clientèle étrangère et à la visibilité sur internet, financé par le FSE+ de la DRIEETS.

Les projets de la CCI Paris Ile-de-France financés directement par la Commission européenne

La CCI Paris Ile-de-France répond également aux appels à propositions lancés par les services de la Commission européenne, notamment sur le programme Single Market Act de la Direction générale du marché intérieur, de l'industrie, de l'entrepreneuriat et des PME (DG Grow).

Enterprise Europe Network Territoires d’Outre-mer Normandie Ile-de-France Centre-Val de Loire 2022-2025

Dans le cadre du réseau européen Enterprise Europe Network (EEN), créé il y a plus de 15 ans, la CCI Paris Ile-de-France est coordinatrice d’un consortium interrégional qui regroupe 8 partenaires : EEN TONIC 2022-2025.

L’objectif de ce réseau est d’apporter un service sur mesure d’information et de conseil en droit européen, et d’accompagner les projets d’innovation, d’internationalisation et de transition des entreprises. Plus de 30 conseillers sont mobilisés sur les territoires couverts par le consortium afin de réaliser ces missions.

En savoir plus

Erasmus for Young Entrepreneurs

La CCI Paris Ile-de-France est une organisation intermédiaire du programme Erasmus for Young Entrepreneurs (EYE) qui vise à stimuler l’entreprenariat en Europe. Ce programme aide les nouveaux entrepreneurs ou porteurs de projet à acquérir et développer les compétences nécessaires au lancement et à la gestion d’une entreprise. La CCI les accompagne pour qu'ils effectuent un séjour d’un à six mois chez un entrepreneur expérimenté en Europe et leur verse une bourse européenne dont le montant est forfaitaire et dépend du pays de destination.

L'entrepreneur d'accueil bénéficie, quant à lui, d'un regard neuf sur son entreprise. C'est également l'occasion pour lui de coopérer avec des partenaires étrangers ou d'en savoir plus sur de nouveaux marchés.

Découvrir le programme EYE

European Digital Innovation Hub

La CCI Paris Ile-de-France est également partenaire de deux consortia régionaux du réseau EDIH (European Digital Innovation Hub) : le projet CYBIAH, coordonné par Campus Cyber dans le champ de la cybersécurité, et le projet eDIH Paris-Saclay, coordonné par CEA-List, dans le champ du calcul haute fréquence et de l’IA.

Les pôles européens d’innovation numérique (EDIH) accompagnent les entreprises pour améliorer les processus, produits ou services d’affaires/de production utilisant les technologies numériques en :

  • fournissant l’accès à l’expertise technique et aux tests, ainsi que la possibilité de "tester avant d’investir"
  • fournissant des services d’innovation, tels que des conseils en matière de financement, de formation et de développement des compétences, qui sont au cœur de la réussite de la transformation numérique
  • aidant les entreprises à s’attaquer aux problèmes environnementaux, notamment l’utilisation des technologies numériques pour la durabilité et la circularité.
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Dans le cadre des fonds que l’Europe met à disposition du développement économique des territoires, la CCI Paris Ile-de-France est un acteur important à travers plusieurs dispositifs.
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Faciliter la mobilité de ses salariés et réduire ses émissions de CO2

Soumis par ibrunetdebaines le lun 25/09/2023 - 10:24
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Les déplacements professionnels et les trajets domicile-travail sont aujourd’hui un enjeu fort pour les entreprises. Faciliter et « verdir » la mobilité de ses collaborateurs aura en effet un impact positif sur la qualité de vie au travail et la performance. Et cela permettra également d’améliorer son bilan carbone en réduisant les émissions de gaz à effet de serre. Les entreprises ont donc tout intérêt à faciliter l’accès de leurs salariés à des modes de transport plus durables. Tour d’horizon.

Pourquoi agir sur les déplacements professionnels et domicile-travail ?

« Les salariés ont de plus en plus la volonté de mettre leurs engagements personnels en accord avec leur activité professionnelle. Et la mobilité est pour eux un levier majeur. Si l’entreprise est accessible facilement en transport en commun ou à vélo, facilite le covoiturage, met à disposition des vélos ou trottinettes électriques… cela contribuera à améliorer leur qualité de vie au travail et aura un impact positif sur la productivité. L’entreprise aura également plus de facilité à recruter, mais aussi et surtout à fidéliser ses collaborateurs. » explique Carole Uzan, conseillère Transition écologique à la CCI Paris Ile-de-France.

Ceci est d’autant plus vrai en Ile-de-France que la densité urbaine entraîne une saturation des réseaux routiers et des transports collectifs. S’ajoutent à cela des contraintes réglementaires. A ce titre, la ZFE (Zone à Faible Émission) métropolitaine, qui se met progressivement en place sur le territoire francilien, va entrainer des restrictions d'accès pour les véhicules les plus polluants (diesel dans un premier temps). Les salariés ont donc besoin de trouver des solutions alternatives, notamment à l’utilisation de la voiture. Ils veulent pouvoir choisir leur mode de déplacement.

« En outre, les trajets domicile-travail et professionnels étant le premier poste d'émission de gaz à effet de serre des activités de bureau, agir pour les rendre plus vertueux aura des effets quantifiables. Or, aujourd’hui, aucune entreprise ne peut faire l’impasse sur la mesure de son impact environnemental, au niveau réglementaire comme en termes de communication. Agir sur la mobilité des salariés permettra en effet d’afficher son action sur la RSE - responsabilité sociale et environnementale de l’entreprise. »

Agir sur les mobilités est donc un projet gagnant-gagnant pour l’entreprise, les salariés mais aussi le territoire !

Comment faciliter les déplacements de ses salariés tout en réduisant ses émissions de CO2 ?

Les entreprises peuvent proposer différentes solutions à leurs salariés pour faciliter leurs déplacements et réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.

Participation financière des employeurs

La plupart des entreprises participent aux frais de déplacement de leurs collaborateurs par le remboursement des abonnements de transport collectif. Certaines prennent aussi en charge les forfaits vélo ou proposent le forfait mobilités durables. « Ce dispositif permet aux employeurs d’attribuer une indemnité exonérée de cotisations aux salariés privilégiant des modes de transport plus écologiques pour effectuer leurs trajets domicile-travail : covoiturage ; vélo ou trottinette (personnel, en location ou en libre-service) ; transports publics… » précise Carole Uzan.

Organisation du travail et télétravail

La mise en place du télétravail et le développement des outils de visioconférence sont des solutions très efficaces pour réduire les déplacements des collaborateurs. Plébiscité par les salariés, le télétravail a néanmoins ses limites et n'est pas déployable dans toutes les entreprises et pour toutes les activités. « Mais d’autres actions simples permettent également d’aller dans ce sens. Par exemple, mettre à disposition des salariés une salle pour déjeuner sur place avec un micro-ondes et un réfrigérateur pour éviter les déplacements à la pause méridienne. »

Développement des mobilités douces

40 % des Franciliens parcourent moins de 5 km pour se rendre à leur travail et 28 % font même moins de 3 km ! Ces chiffres illustrent le potentiel des déplacements à vélo ou à pied. « Les entreprises peuvent donc encourager leurs collaborateurs à utiliser ces modes de transport, ne serait qu’en les informant sur les aides financières à l’achat d’un vélo, en mettant à disposition un local dédié aux 2 roues... »

Promotion du covoiturage

Le covoiturage est une pratique de mobilité de plus en plus utilisée qui permet de réduire les émissions de CO2 tout en réalisant des économies financières. Pour encourager ses salariés à y recourir, la solution la plus aisée est de nouer un partenariat avec une plateforme existante pour bénéficier d'une communauté plus importante.

Verdissement des flottes

Les entreprises ont de plus en plus tendance à investir dans des véhicules propres, tant pour les déplacements des personnes que pour le transport des marchandises. Elles font également installer dans leurs locaux des bornes de recharges pour favoriser l'usage des véhicules électriques par les salariés pour leurs déplacements professionnels et leurs trajets domicile-travail.

* * *

Toutes ces actions permettent de faciliter la vie de ses salariés et de réduire l’impact environnemental de son entreprise sans engager d’investissements importants. D’autres leviers tels que l’amélioration des dessertes en transport en commun impliquent une coopération de tous les acteurs concernés : entreprises du territoire, collectivités locales, opérateurs de transport… et sont beaucoup plus lourds et longs à mettre en œuvre.

Mais quelles que soient les actions que vous envisagez, elles peuvent être inscrites dans un plan de mobilité, c’est-à-dire un plan d'actions dédié aux questions de déplacements des salariés. Il est réalisé à partir d'un diagnostic et d'une enquête auprès des salariés pour identifier leurs pratiques et leurs besoins.

Ce plan de mobilité peut être réalisé à titre individuel à l'échelle de l'entreprise mais il peut également être élaboré à l'échelle d'un parc d'activité ou d'un bassin d'emploi avec plusieurs entreprises. Les actions sont alors mutualisées et ont plus d'ampleur et d'efficacité.

En savoir plus sur les plans de mobilité

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Pourquoi agir sur les déplacements professionnels et les trajets domicile-travail ? Comment faciliter les déplacements de ses salariés tout en réduisant ses émissions de gaz à effet de serre ?
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Tableau de bord départemental du Val-d'Oise - 2023

Soumis par npagnoux le jeu 21/09/2023 - 07:47
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1er trimestre 2023

Un bilan conjoncturel de nouveau en demi-teinte dans le Val d’Oise

Comme pour les périodes précédentes, le bilan économique du 1er trimestre 2023 dans le Val-d’Oise a de nouveau semblé en demi-teinte. C’est le marché du travail qui est à l’évidence le plus satisfaisant avec une baisse de 0,2 point du taux de chômage (7,7 %).

En revanche, le volume des défaillances d’entreprises est resté élevé et les créations d’entreprises ont été moins dynamiques qu’aux trimestres précédents. Ce ne sont pas la construction d'immobilier
d'entreprise, orientée à la baisse, ou la fréquentation hôtelière, toujours en retrait comparativement à 2019, qui inciteront à un optimisme de principe. La vigilance reste donc de mise.

Auteurs : Mickaël LEPRIOL, Pierre de RICAUD

Septembre 2023

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1er trimestre 2023
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Tableau de bord départemental de la Seine-Saint-Denis - 2023

Soumis par npagnoux le jeu 21/09/2023 - 07:30
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1er trimestre 2023

Malgré quelques évolutions contrastées, la reprise économique se confirme

Au 1er trimestre 2023, l’activité économique séquano-dionysienne a confirmé la bonne dynamique de l’année 2022, notamment grâce à une forte hausse de la fréquentation hôtelière (+ 45,9 % par
rapport au 1er trimestre 2022). L’emploi salarié départemental, après un léger tassement au trimestre précédent, est reparti à la hausse, porté par le tertiaire marchand et la construction.


Parallèlement, le taux de chômage a de nouveau diminué (- 0,2 point par rapport au trimestre précèdent) pour s’établir à 9,8 % de la population active.

Par ailleurs, après deux trimestres consécutifs de hausse, le nombre de créations d’entreprises s’est replié alors que celui des défaillances a continué à augmenter. Le marché de la construction d’immobilier d’entreprise a été bien orienté pour les autorisations de construire mais le volume mis en chantier a reculé.

Septembre 2023

 

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Simplice MEYA TABU

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1er trimestre 2023
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Tableau de bord départemental du Val-de-Marne - 2023

Soumis par npagnoux le jeu 21/09/2023 - 07:07
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1er trimestre 2023

Des signaux contradictoires dans le Val-de-Marne

Au 1er trimestre 2023, les indicateurs conjoncturels sont restés contraints par les effets de nombreux défis : hausse des prix de l’énergie et des matières premières, enjeux climatiques, etc.).

En matière de démographie d’entreprises, les créations d’entreprises ont tourné au ralenti dans le Val-de-Marne ; simultanément, les défaillances ont augmenté même si la hausse est moins marquée qu’au plan régional.

Sur le marché du travail, le taux de chômage a continué à refluer même si le nombre d’emplois a seulement faiblement augmenté (+ 0,1 % par rapport au 4e trimestre 2022).

Par ailleurs, la reprise de l’activité touristique a semblé moins soutenue dans le Val-de-Marne que dans d’autres départements franciliens. Le secteur de la construction a peiné à rester actif en termes de permis accordés mais les mises en chantier ont nettement rebondi sur un an.

 

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Ioana TEODORESCU

septembre 2023

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1er trimestre 2023
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Tableau de bord départemental des Hauts-de-Seine - 2023

Soumis par npagnoux le jeu 21/09/2023 - 06:58
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1er trimestre 2023

Un taux de chômage qui poursuit sa baisse dans les Hauts-de-Seine

Le taux de chômage observé dans les Hauts-de-Seine (5,6 %) a poursuivi son repli au 1er trimestre 2023. Parallèlement, porté par la construction et le tertiaire marchand, l’emploi départemental a augmenté de 0,6 % sur un trimestre.

Les créations d’entreprises ont légèrement augmenté (+ 1,5 %) tandis que le nombre de défaillances d’entreprises a continué de croître fortement (+ 36,4 % par rapport au 1er trimestre 2022).

Au plan sectoriel, l’hôtellerie a continué à se redresser : les nuitées observées en mars 2023 ont notamment été supérieures à celles de mars 2019. Le volume des surfaces autorisées à être construites a diminué de 66,4 % alors que celui des mises en chantier a crû de 60,2 %.

Septembre 2023

 

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Robin BENOIST

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1er trimestre 2023
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