Tableau de bord économique de l'Ile-de-France

4^ème trimestre 2022

Les résultats économiques toujours fragiles dans le Val-d’Oise fin 2022

Même si la tendance baissière du taux de chômage départemental n’est pas remise en cause et même si le nombre de créations d’entreprises est resté important fin 2022, les résultats économiques constatés dans le Val-d’Oise sont restés fragiles au 4e trimestre 2022.

La part importante des micro-entrepreneurs dans les créations d’entreprises, le nombre de défaillances engagé sur une pente ascendante depuis deux ans, la fréquentation hôtelière toujours inférieure à ses niveaux d’avant la crise sanitaire et les volumes hésitants des surfaces de locaux autorisés ou commencés appellent à une nouvelle ambition de développement économique dans le département ; celle-ci pourrait s’appuyer sur d’ambitieux projets (Agoralim), des grands évènements à venir (Jeux olympiques de 2024), des infrastructures en construction (ligne 17, possible ligne 19, etc.) ou la volonté de renforcer l’attractivité du Val-d’Oise.

Juin 2023

3^ème trimestre 2022

Un dynamisme encore faible dans le Val-d’Oise, en attente de projets innovants

Le Val-d’Oise est resté relativement dynamique au 3^e trimestre 2022 ; en témoignent un taux de chômage en baisse, un niveau d’emploi salarié en hausse et un nombre de créations d’entreprises qui augmente.

Cependant, ces constats ne peuvent, ni ne doivent engager à trop d’optimisme : en effet, le tissu économique semble fragile, les défaillances d'entreprises en hausse en sont encore la preuve. Quant aux perspectives à court terme, elles ne sont pas davantage favorables : il en est ainsi de la construction et des locaux autorisés ou commencés ; de même, l’activité hôtelière ne reprend que très lentement depuis la pandémie. L’activité économique du département a probablement besoin de projets nouveaux et innovants pour soutenir son développement.

Mars 2023

2^ème trimestre 2022

Les interrogations perdurent dans le Val-d’Oise

Les trimestres se suivent et se ressemblent dans le Val-d’Oise, du moins s’agissant des données économiques des deux premiers trimestres de 2022. Ainsi les interrogations et les incertitudes apparues début 2022 ont semblé perdurer au printemps dernier. Certes, certains indicateurs, tels l’emploi ou la construction de d’immobilier d’entreprise, sont « au vert » ; d’autres, en revanche, sont le reflet d’une situation fragile et contrastée : un taux de chômage qui ne réduit plus, un niveau de créations d’entreprises qui diminue, un « retour à la normale » de la fréquentation hôtelière encore incomplet et trop lent. Dans ce contexte, la vigilance est de mise et la mobilisation de tous nécessaire.

Novembre 2022

1^er trimestre 2022

L’activité économique du Val-d’Oise interroge et s’interroge

Début 2022, le bilan économique dans le Val-d’Oise est resté assez contrasté et sujet à quelques interrogations, certains indicateurs pouvant être interprétés de différentes façons.

Il en est ainsi du niveau stable des créations d’entreprises « classiques » (+ 1,0 %) tandis que le nombre de micro-entrepreneurs s’est réduit de 15,6 % ; de même, le moindre recours à l’intérim est-il le signe d’une stabilisation de l’activité et de l’emploi (alors que le chômage baisse et l’emploi monte clairement) ou au contraire celui d’un ralentissement de certaines fonctions économiques ?

Lorsque les défaillances d’entreprises augmentent (+ 53,0 %), ne sont-ce pas la suppression des aides de ces deux dernières années et un apurement qui affecte plus particulièrement certaines entreprises fragiles ou récemment créées ? Et ce, alors que l’activité hôtelière comme la construction semblent être favorablement orientées.

Auteurs : Mickaël LEPRIOL, Pierre de RICAUD

Septembre 2022

4^ème trimestre 2020

L’économie séquano-dyonisienne a bien résisté fin 2020

La reprise économique amorcée à l'été 2020 a semblé se poursuivre au 4e trimestre. Les créations d'entreprises ont continué à augmenter (+ 33,2 %).

L'emploi salarié, bien que ralenti, est resté favorablement orienté dans le département (+ 0,2 %) et ce, dans tous les secteurs, alors même qu'il a régressé en Ile-de-France. Parallèlement, la construction de locaux a été dynamique ; les autorisations de construire ont enregistré une hausse importante par rapport au 4e trimestre 2019 (+ 28,0 %) et 179 709 m² ont été mis en chantier soit 17,7 % du total francilien.

Cette situation favorable en façade est à nuancer ; certains indicateurs, à l'instar du taux de chômage et des défaillances d'entreprises, ont reculé mais cela tient plus à la définition du premier et aux aides publiques encore délivrées aux entreprises pour le second.

Juillet 2021

3^ème trimestre 2020

Un léger sursaut estival terni par la remontée du chômage

L'été 2020 a été marqué par des signes relativement encourageants de dynamisme économique en Seine-Saint-Denis. Celui-ci est porté essentiellement par les créations d'entreprises qui ont fortement augmenté (+ 38,6 %). L'emploi a également été orienté à la hausse (+ 1,8 %), principalement dans la construction et le tertiaire et grâce à l'emploi intérimaire (+ 19,3 %).

Néanmoins, le taux de chômage de la Seine-Saint-Denis a crû de près de 3,0 points après des années de baisse. Parallèlement, les mises en chantiers et les surfaces de locaux autorisés à construire se sont nettement repliées. Les défaillances d'entreprises sont malgré tout restées orientées à la baisse (- 33,4 %) mais nombreux sont les établissements soutenus par les dispositifs temporaires d'aides publiques… Qu'en sera-t-il quand cesseront ces mesures ?

2^e trimestre 2020

8 semaines de confinement et des conséquences lourdes pour la Seine-Saint-Denis

Les signes annonciateurs d'une crise économique majeure se sont confirmés après la période de confinement qui a provoqué un arrêt quasi-complet des activités. Ainsi, les créations d'entreprises ont fortement reculé en Seine-Saint-Denis.

Parallèlement, peu de chantiers ont pu débuter : seuls 42 159 m² ont été mis en chantier et les surfaces autorisées à construire ont également diminué. L'emploi a été fortement affecté même si les secteurs de l'industrie et de la construction sont restés favorablement orientés sur un an (respectivement + 7,5 % et + 4,5 %).

Cette crise, sans précédent, n’a toutefois pas encore dévoilé toute sa profondeur : des évolutions favorables trompeuses ont encore été enregistrées, à l'instar de celle du taux de chômage, au plus bas depuis 2008, et du recul des défaillances d'entreprises.

1^er trimestre 2020

Début de crise sanitaire : impacts immédiats en Seine-Saint-Denis

La dynamique positive aurait pu se poursuivre en Seine-Saint-Denis sans la crise sanitaire et ses conséquences immédiates sur l'économie. Certes, la baisse des défaillances d'entreprises s'est poursuivie dans le département et la Seine-Saint-Denis a été le seul département à enregistrer une hausse très importante des surfaces autorisées à construire.

Mais, déjà, les deux premières semaines du confinement national ont eu des répercussions : les créations d'entreprises ont cessé d'augmenter, surtout les micro-entrepreneurs (- 26,3%), les chantiers se sont arrêtés (le département n'a représenté que 5,1% du total régional des mises en chantiers) et l'emploi salarié a été très affecté. Il n'y a pas encore eu d'impact sur le taux de chômage qui a continué à se réduire « artificiellement », du fait de la non disponibilité des chômeurs.

Auteurs : Mickaël LE PRIOL - Audrey DEROUEN-MARINO

4^ème trimestre 2021

Quelques signes de fléchissement pour la Seine-Saint-Denis fin 2021

La reprise économique a semblé se poursuivre au 4^e trimestre 2021 même si les créations d'entreprises se sont repliées (- 16,8 % par rapport à la même période de 2020).

Porté par l’intérim et la construction, l'emploi salarié départemental est supérieur de 1,9 % à son niveau d’avant la crise sanitaire.

Cette situation favorable en façade reste à nuancer, à l'instar des défaillances d'entreprises qui ont reculé mais grâce au maintien des aides publiques dont bénéficient encore certaines entreprises.

De même, la construction de locaux a subi une baisse conséquente : les autorisations de construire ont enregistré une baisse de 37,7 % par rapport au 4^e trimestre 2020 même si les 116 638 m² mis en chantier dans le même temps n’en ont pas moins représenté 14,2 % du total francilien.

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Benoist ANCELIN

Mai 2022

3^ème trimestre 2021

Une période estivale tempérée économiquement en Seine-Saint-Denis

Le département de la Seine-Saint-Denis a globalement écrit une copie similaire du trimestre précédent mais très différente de l’année antérieure.

L’appréciation globale est en demi-teinte et la reprise ne repose que sur des frémissements. L’évolution du nombre de défaillances d’entreprises dans le département (- 16.8 % par rapport au même trimestre de 2020) a constitué une note positive ; en revanche, le nombre de créations d’entreprises a baissé (- 19,5 % en glissement annuel) du fait du net repli du nombre de nouveaux micro-entrepreneurs (les créations d’entreprises « classiques » ont parallèlement augmenté de 2,5 %).

Si l’emploi a continué sa progression, le taux de chômage est resté stable dans le département. Il est à noter que, même s’il a retrouvé des couleurs, le secteur hôtelier est toujours dans une période difficile.

Auteurs : Benoist ANCELIN, Mickaël LE PRIOL

Mars 2022

2^e trimestre 2021

Des signes encourageants mais fragiles en Seine-Saint-Denis

La situation économique s'est améliorée au cours du 2^e trimestre 2021 en Seine-Saint-Denis. Ainsi, par rapport au 2^e trimestre 2020, le nombre de créations d'entreprises a augmenté de 37,3 % dans le département, le chômage s’est réduit de 0,1 point et l'emploi a augmenté de 0,7 % par rapport au trimestre précédent ; les évolutions sectorielles de l’emploi révèlent même une importante progression dans l'industrie et dans la construction par rapport aux niveaux d'avant-crise.

Pour la construction, cette hausse de l’emploi est corrélée à l'augmentation observée dans la mise en chantier d’immobilier d’entreprise (+ 13,8 % par rapport au 2^e trimestre 2019). Toutefois, ce dynamisme est atténué par le repli conséquent des autorisations de construire accordées (- 72,4 % par rapport au 2e trimestre 2019), faisant de la Seine-Saint-Denis le département le plus affecté d'Ile-de-France.

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Audrey DEROUEN-MARINO

Décembre 2021

1^er trimestre 2021

Un 1^er trimestre 2021 en demi-teinte en Seine-Saint-Denis

Les indicateurs économiques ont bien traduit au cours du 1er trimestre 2021, pris entre deux confinements, l’incertitude de nouveau grandissante.

Nos voisins européens se sont reconfinés et le trafic aérien n'a pas repris (- 77,9 % à Roissy par rapport à début 2020). Le taux de chômage a stagné à 11,1 % mais les mesures de chômage partiel, toujours de mise dans certains secteurs, ont probablement dissimulé les difficultés du marché du travail.

Pourtant, l'emploi a poursuivi sa progression (+ 0,3 % par rapport au trimestre précédent). Porté par les microentrepreneurs, le nombre de créations d'entreprises a fortement augmenté. La baisse des défaillances d'entreprises s'est poursuivie même si elle est à nuancer compte-tenu des aides publiques toujours versées.

Enfin, alors que les surfaces autorisées à construire ont reculé de 10,3 %, les chantiers ont repris (64 843 m² ont été engagés).

Auteurs Mickaël LE PRIOL, Audrey DEROUEN-MARINO

Septembre 2021

4^ème trimestre 2022

Des signaux encourageants en Seine-Saint-Denis malgré une tendance au ralentissement

La fin de l’année 2022 a été marquée par des signes relativement encourageants pour l’économie en Seine-Saint-Denis. Ceux-ci se sont matérialisés par des créations d'entreprises en hausse (+ 16,2 %) ainsi que par des mises en chantiers et des autorisations de construire favorablement orientées sur un an (respectivement + 12,9 % et + 64,6 %).

Néanmoins, le nombre de défaillances d'entreprises dans le département, même s’il reste encore limité comparativement à ses niveaux d’avant la pandémie, a continué à augmenter fin 2022. P

ar ailleurs, malgré la reprise en cours, le nombre de nuitées hôtelières est resté inférieur de 6,2 % à son niveau du 4e trimestre 2019 et l’emploi salarié est seulement resté stable par rapport au trimestre précédent.

Le département conserve le troisième taux de chômage le plus élevé de France métropolitaine (10,1 %) après l’Aisne (10,3 %) et les Pyrénées-Orientales (11,7 %).

Juin 2023

3^ème trimestre 2022

Moins soutenue, la reprise économique continue malgré tout de s’affirmer

Dans la continuité des trimestres précédents, la reprise de l’activité économique en Seine-Saint-Denis a semblé se confirmer, notamment grâce aux nouveaux microentrepreneurs (+ 17,9 %) ; le département est, depuis 2020, l’un des plus dynamique en Ile-de-France en matière de création d’entreprises.

Parallèlement, l’emploi a poursuivi sa progression et le taux de chômage est retombé à 10,2 %. En revanche, même s’il est resté limité comparativement à celui d’autres départements de la région, le nombre de défaillances d'entreprises a continué à augmenter (+ 9,4 % par rapport au 3^e trimestre 2021).

La construction de locaux a subi une importante baisse : les autorisations de construire ont notamment diminué de 17,6 % par rapport au 3^e trimestre 2021 et les mises en chantier se sont repliées dans le même temps de 53,0 %.

Mars 2023

2^ème trimestre 2022

Des évolutions hésitantes en Seine-Saint Denis

Dans un contexte se détériorant, les évolutions économiques ont été hésitantes au 2^e trimestre 2022 en Seine-Saint-Denis. Ainsi, les créations d'entreprises ont ralenti (- 3,3 % par rapport à la même période de 2021) tandis que les défaillances d'entreprises ont augmenté de 15,3 % par rapport au 1er trimestre 2021.

Au plan sectoriel, les autorisations de construire ont enregistré une augmentation de 128,5 % par rapport au 1^er trimestre 2021 mais les 63 010 m² mis en chantier dans le même temps n’ont représenté que 6,3 % du total francilien, soit la plus faible part départementale. Le principal élément favorable est venu de l’emploi salarié départemental : porté par le tertiaire marchand et la construction, il est désormais supérieur de 3,9 % à son niveau d’avant la crise sanitaire.

Novembre 2022

1^er trimestre 2022

Des signaux encourageants pour la Seine-Saint-Denis début 2022

La reprise économique a semblé se poursuivre au 1^er trimestre 2022 même si les créations d'entreprises se sont repliées (- 10,4 % par rapport à la même période de 2021). Porté par le tertiaire marchand et la construction, l'emploi salarié départemental est désormais supérieur de 3,6 % à son niveau d’avant la crise sanitaire.

Cette situation favorable se confirme par les défaillances d'entreprises qui ont encore une fois reculé. En revanche, la construction de locaux a subi une baisse conséquente : les autorisations de construire ont enregistré une baisse de 63,8 % par rapport au 1^er trimestre 2021 même si les 185 401 m² mis en chantier dans le même temps n’en ont pas moins représenté près d’un quart du total francilien.

Septembre 2022

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Benoist ANCELIN

4^ème trimestre 2020

Résilience de l’économie fin 2020 dans les Hauts-de-Seine

La situation économique des Hauts de seine a plutôt bien résisté au 4e trimestre 2020 dans un contexte pourtant particulièrement éprouvant pour l’activité économique.

Cette résilience qui a été observée pour les principaux indicateurs doit toutefois être mise en perspective avec les aides publiques déployées par le gouvernement pour soutenir ses territoires.

Il est à noter en particulier que le taux de chômage a diminué de 0,5 point au 4^e trimestre 2020 et que le secteur de la construction d’immobilier d’entreprise a nettement rebondi en fin d’année 2020.

juillet 2021

3^ème trimestre 2020

L’économie des Hauts-de-Seine s’est maintenue au 3^e trimestre 2020

Le département a affiché au 3^e trimestre 2020 des résultats stables, en partie grâce aux mesures de soutien en faveur des entreprises.

Ainsi, à l’instar des autres départements de la région, le nombre de créations et défaillances d’entreprises n’a pas connu de trajectoire défavorable même si les Hauts-de-Seine ont enregistré le rebond de créations le plus modeste de la région. L’intérim a permis de stimuler le marché de l’emploi.

Dans le même temps, le chômage départemental est reparti à la hausse (+ 1,9 point par rapport au 2^e trimestre 2020). Enfin, la construction d’immobilier d’entreprise a continué à tourner au ralenti : les surfaces autorisées à construire et celles mises en chantier se sont repliées comparativement à celles du 3^e trimestre 2019.

2^ème trimestre 2020

L’emploi aussi victime de la crise sanitaire dans les Hauts-de-Seine

Les résultats du 2^e trimestre 2020 témoignent des premiers effets de la Covid19 sur l’activité économique du département.

Ainsi, l’emploi s’est contracté : 16 259 postes au total ont été détruits dans les secteurs principalement marchands (- 1,5 % par rapport au trimestre précédent) ; les emplois industriels ancrés dans une dynamique de recul depuis plusieurs années n’ont pas été épargnés (- 1,0 %) même si l’intérim s’est parallèlement redressé de 7,4 % après sa chute du trimestre précédent (- 31,6 %).

Les créations d’entreprises ont quant à elles reculé de 22,0 %. La construction d’immobilier d’entreprise a, pour sa part, pâti des effets du confinement et des mesures sanitaires ; ainsi, les mises en chantier dans le département ont reculé de 80,9 % en glissement annuel, expliquant ainsi le recul de l’emploi dans le secteur.

1^er trimestre 2020

Tendance à la baisse début 2020 dans les Hauts-de-Seine

L’année 2020 a démarré sur des bases mitigées en Essonne, certaines tendances favorables ne tenant qu’à une situation exceptionnelle. Ainsi, si une baisse des défaillances d’entreprises a été observée, celle-ci a été en partie liée aux fermetures des tribunaux de commerce lors du confinement, retardant certains jugements.

Parallèlement, les créations d’entreprises sont certes restées nombreuses mais ont été moins dynamiques qu’au cours des trimestres précédents. D’autre part, la baisse du taux de chômage apparaît factice puisque la définition même du chômage implique une disponibilité immédiate des actifs, rendue impossible durant le confinement.

Surtout, le nombre d’emplois total s’est nettement réduit sur un trimestre en Essonne (- 1,5 %).

Auteurs : Mickaël LE PRIOL - Livia SORMAIN

4^ème trimestre 2021

L’emploi des Hauts-de-Seine toujours en retrait par rapport à son niveau de fin 2019

Au 4^e trimestre 2021, le département des Hauts-de-Seine a enregistré des évolutions hétérogènes.
Ainsi, le nombre de créations d’entreprises s’est réduit mais les défaillances d’entreprises ont également été moins nombreuses.

L’emploi salarié s’est seulement stabilisé malgré un fort rebond de l’intérim ; parallèlement, le taux de chômage a diminué de 0,5 point et a atteint 6,2 %.

Les surfaces de locaux autorisés et commencés ont également été en recul dans le département (respectivement- 1,4 % et - 39,9 %).

Enfin, l’activité hôtelière est en phase de redressement mais est restée très inférieure à ses niveaux de fin 2019.

Mai 2022

3^ème trimestre 2021

Un 3^e trimestre 2021 encourageant pour les Hauts-de-Seine

Au 3^e trimestre 2021 le département des Hauts-de-Seine a bénéficié d’une reprise. Le nombre de défaillances d’entreprises s’est ainsi replié pour s’établir à seulement 127 dans le département.

Dans le même temps, le taux de chômage est resté stable à 6,6 % tandis que l’emploi salarié a augmenté de 0,6 % sur un trimestre ; l’intérim a particulièrement contribué à la bonne santé de l’emploi (+ 5,9 %).

L’activité touristique a bénéficié d’une reprise au cours de l’été 2021, le nombre de nuitées hôtelières ayant notamment augmenté de 70,1 % en glissement annuel un an en septembre.

Enfin, si le volume des locaux autorisés à construire est resté en berne, les surfaces de locaux mis en chantier a été bien orienté (+ 16,9 % par rapport au 3e trimestre 2020).

Mars 2022

2^ème trimestre 2021

Un 2^e trimestre 2021 positif pour les Hauts-de-Seine

Malgré un début de trimestre marqué par le troisième confinement national, les principaux indicateurs économiques ont été globalement orientés favorablement dans les Hauts-de-Seine au 2^e trimestre 2021. Ainsi, les créations d’entreprises sont restées nombreuses tandis que le volume des défaillances est toujours maîtrisé grâce aux dispositifs de soutien déployés par l’Etat.

Parallèlement, même si le déficit par rapport à fin 2019 est encore de 1,6 %, l’emploi dans le département a augmenté de 0,3 % sur un trimestre, soit 3 400 créations nettes ; le taux de chômage départemental s’est quant à lui réduit de 0,1 point pour atteindre 6 7 % (contre 7,6 % au niveau régional).

L’immobilier de bureaux et la construction ont également évolué positivement au printemps 2021 même si, petit bémol, le volume des surfaces de locaux autorisés à construire s’est avéré modeste.

Décembre 2021

1^er trimestre 2021

Les Hauts-de-Seine : des indicateurs économiques en demi-teinte début 2021

Dans le contexte de crise sanitaire, les principaux indicateurs sont en retrait comparativement au début de l’année 2020.

Ce sont les secteurs de l’immobilier de bureaux et de la construction de locaux d’entreprises qui pâtissent le plus de la situation.

Malgré la crise, l’emploi dans le département a résisté dans une économie qui peine à redémarrer : le département a enregistré 1 490 créations d’emplois salariés et le taux de chômage est resté stable, à l’instar des autres départements de la région ; ainsi, les Hauts-de-Seine ont affiché au 1er trimestre 2021 un taux de chômage (6 8 %) inférieur à la moyenne régionale (7,7 %) et nationale (7,8 %).

Septembre 2021

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Livia SORMAIN

4^ème trimestre 2022

Poursuite de la hausse de l’emploi dans les Hauts-de-Seine

Portée par l’industrie et la construction, l’embellie de l’emploi s’est poursuivie dans les Hauts-de-Seine au 4e trimestre (+ 0,2 % par rapport au 3e trimestre 2022).

Le taux de chômage départemental s’est quant à lui stabilisé à 5,8%. Parallèlement, les créations d’entreprises ont augmenté de 10,7 % par rapport au 4e trimestre 2021 tandis que le rebond des défaillances d’entreprises s’est confirmé.

Au plan sectoriel, la construction d’immobilier d’entreprise a subi une nette contraction fin 2022 avec les baisses conjuguées des volumes des surfaces autorisées (- 88,5 % sur un an) et des mises en chantier (- 41,9 %) ; en revanche, la fréquentation hôtelière dans les Hauts-de-Seine s’est encore rapprochée des niveaux d’avant la pandémie.

Juin 2023

3^ème trimestre 2022

Malgré les contraintes, un 3^e trimestre 2022 encourageant dans les Hauts-de-Seine

Au 3^e trimestre 2022, le département des Hauts-de-Seine a enregistré une hausse de 13,2 % de ses créations d’entreprises. Sous les effets conjugués des contraintes (remboursement des PGE, inflation, crise énergétique, etc.), le nombre de défaillances a également augmenté mais est resté limité comparativement à l’avant crise sanitaire (2019).

Dans le même temps, le taux de chômage dans le département est ressorti à 5,9 % ; ce repli a été permis par le dynamisme de l’emploi. La fréquentation hôtelière tend à retrouver son niveau d’avant la crise sanitaire, sans toutefois encore l’atteindre. Enfin, la construction d’immobilier d’entreprise a été favorablement orientée dans les Hautsde-Seine, avec une hausse du volume des surfaces de locaux autorisés à construire (+ 69,6 %) et des mises en chantier (+ 77,0 %).

Mars 2023

2^ème trimestre 2022

L’emploi toujours dynamique dans les Hauts-de-Seine

Dans les Hauts-de-Seine, porté par l’intérim, le nombre d’emplois a continué à augmenter au 2e trimestre 2022 tandis que le taux de chômage est resté stable à 6 %. Dans le même temps, le niveau des créations d’entreprises a subi un repli qui s’inscrit dans un mouvement globalement observé au niveau régional ; le nombre de défaillances d’entreprises a parallèlement fortement augmenté comparativement au 2e trimestre 2021 (+ 18,9 %). Au niveau sectoriel, la construction d’immobilier d’entreprises a enregistré des évolutions contrastées : le volume des locaux autorisés à être construits a ainsi augmenté mais le volume des surfaces de locaux commencés s’est nettement replié. Enfin, la fréquentation hôtelière n’a toujours pas retrouvé son niveau d’avant la crise sanitaire (2019).

Novembre 2022

1^er trimestre 2022

La situation économique favorable dans les Hauts-de-Seine stimule l’emploi

Les indicateurs du 1er trimestre 2022 reflètent une économie des Hauts-de-Seine qui retrouve son dynamisme même si elle reste convalescente dans certains secteurs. Ainsi, le taux de chômage et le nombre de demandeurs d’emploi sans aucune activité (catégorie A) sont en baisse ; parallèlement, le nombre d’emplois continue à augmenter.

Au plan sectoriel, le volume des surfaces de locaux commencés a fortement augmenté (+ 65,5 %) ; l’hôtellerie est toujours en difficulté, à la suite de la crise sanitaire, avec un déficit résiduel de la fréquentation par rapport à 2019. En matière de démographie d’entreprises, comparativement au 1er trimestre 2021, le nombre de créations d’entreprises a diminué tandis que le volume de défaillances a augmenté.

Septembre 2022

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Robin BENOIST

4^ème trimestre 2020

La reprise de l’activité essonnienne ralentie par le deuxième confinement

Après avoir montré quelques signes de résistance face à la crise liée à la Covid-19 au 3^e trimestre 2020, l’économie essonnienne a peiné à confirmer cet élan au 4 e trimestre 2020.

En effet, le nombre d’emplois salariés a reculé de 0,4 % par rapport au trimestre précédent, ce qui a représenté une diminution de 1 823 emplois. Bien que le taux de chômage ait affiché une baisse d’1,0 point (à 6,8 %), ce dernier est à relativiser du fait des effets du deuxième confinement.

Avec 33,3 % de défaillances d’entreprises en moins au 4e trimestre 2020 par rapport au 4^e trimestre 2019, les différentes aides accordées aux entreprises pour faire face à la crise ont permis à nombre d’entre elles de subsister.

En revanche, le nombre d’entreprises créées a poursuivi sa progression en Essonne avec une augmentation de 16,4 % par rapport au 4^e trimestre 2019.

juillet 2021

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Ruth MPOZAGARA

3^ème trimestre 2020

L’activité essonnienne résiste tant bien que mal au 3^e trimestre 2020

Après un printemps marqué par les effets de la crise sanitaire liée à la Covid-19, l’économie essonnienne a montré des signes de résistance au 3^e trimestre 2020. Ainsi, les créations d’entreprises sont restées nombreuses (près de 19 000 sur les douze derniers mois).

C’est surtout la situation de l’emploi salarié qui s’est améliorée puisque le département a gagné plus de 10 000 emplois en un trimestre et 3 800 comparativement au 3^e trimestre 2019, avec un secteur de la construction particulièrement dynamique.

Malgré ces chiffres encourageants, d’autres indicateurs incitent à la prudence. Ainsi, le taux de chômage a bondi de 1,7 point par rapport au trimestre précédent, pour atteindre 7,6 %, un niveau plus observé depuis fin 2016. Les défaillances d’entreprises ont continué à baisser mais il faudra attendre l’arrêt des aides publiques pour avoir une idée précise des conséquences de la crise sanitaire.

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Yvan CHELLIN

2^ème trimestre 2020

En Essonne, un printemps marqué par les conséquences de la crise sanitaire

A l’instar des tendances observées à l’échelle francilienne, le 2^e trimestre 2020 s’est inscrit dans la continuité du 1^er trimestre. Ainsi, l’activité essonnienne a enregistré des évolutions assez contrastées : si les défaillances d’entreprises et le taux de chômage sont à leurs niveaux les plus bas de ces dix dernières années, il s’agit surtout des conséquences liées aux retards pris dans les jugements par les tribunaux de commerce, d’une part, et, de l’indisponibilité des actifs pendant le confinement, d’autre part.

Dans le même temps, les créations d’entreprises, bien que toujours dynamiques, ont commencé à décroitre, sous l’effet du repli des créations d’entreprises « classiques » ; mais c’est surtout la perte de plus de 3 100 emplois dans l’industrie et le tertiaire marchand qui constitue le chiffre marquant du printemps 2020 en Essonne.

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Yvan CHELLIN

1^er trimestre 2021

En Essonne, un début d’année mitigé dans un contexte exceptionnel

L’année 2020 a démarré sur des bases mitigées en Essonne, certaines tendances favorables ne tenant qu’à une situation exceptionnelle. Ainsi, si une baisse des défaillances d’entreprises a été observée, celle-ci a été en partie liée aux fermetures des tribunaux de commerce lors du confinement, retardant certains jugements. Parallèlement, les créations d’entreprises sont certes restées nombreuses mais ont été moins dynamiques qu’au cours des trimestres précédents. D’autre part, la baisse du taux de chômage apparaît factice puisque la définition même du chômage implique une disponibilité immédiate des actifs, rendue impossible durant le confinement. Surtout, le nombre d’emplois total s’est nettement réduit sur un trimestre en Essonne (- 1,5 %).

Auteurs : Mickaël LE PRIOL - Romain NOVELLO

4^ème trimestre 2021

Temporisation sur le marché de l’emploi essonnien

Après avoir constamment augmenté pendant six trimestres consécutifs, le nombre d’emplois salariés en Essonne a légèrement diminué (- 0,2 % par rapport au trimestre précédent) au 4e trimestre 2021.

Malgré cela, la progression des emplois du secteur de la construction s’est poursuivie (+ 0,6 %) et le taux de chômage s’est réduit de 0,4 point pour atteindre 6,6 %, niveau identique à celui d’avant-crise (4e trimestre 2019).

Avec une hausse de 11,1 % par rapport à l’année 2020, 2021 a été une année prolifique pour les créations d’entreprises ; parallèlement, en un an, le volume des défaillances d’entreprises s’est élevé à 498, ce qui constitue le bilan le plus bas depuis le début du millénaire.

En revanche, l’activité hôtelière est restée engourdie jusqu’à la fin de l’année puisque les nuitées hôtelières dans le département ont fléchi de 17,1 % au 4e trimestre par
rapport au 4e trimestre 2019.

Mai 2022

3^ème trimestre 2021

Un niveau d’emploi inédit en Essonne

En atteignant des niveaux exceptionnels en Essonne au 3e trimestre 2021, certains indicateurs économiques ont affiché une franche amélioration confirmant ainsi le retour à la normale de l’économie essonnienne amorcé depuis le début de l’année 2021.

Ainsi, grâce à une hausse de 0,4 % sur un trimestre, l’emploi salarié privé s’est élevé à un volume inédit de 459 756 unités et ce en dépit d’une hausse du taux de chômage de 0,2 point.

Parallèlement, moins de 100 entreprises ont été défaillantes, ce qui ne s’était jamais produit au sein du territoire depuis le début des années 2000. Par ailleurs, comparativement à la même période d’une année « classique » comme 2019, les surfaces de locaux mises en chantier ont été supérieures de 75,4 %.

En revanche, malgré un rebond par rapport à 2000, le volume des nuitées hôtelières du 3e trimestre 2021 a été inférieur de 25,4 % à celui du même trimestre de 2019.

Mars 2022

2^ème trimestre 2021

La reprise économique s’installe en Essonne

Le retour à la normale, entamé en début d’année, s’est poursuivi au 2e trimestre 2021.

En effet, en passant de 7,0 % à 6,9 %, le taux de chômage essonnien s’est positionné à 0,3 point de son niveau d’avant-crise (4^e trimestre 2019). L’emploi salarié privé a, quant à lui, dépassé son niveau de fin 2019 grâce à une progression de 0,7 % sur un trimestre. Par ailleurs, Si l’on compare à ses niveaux d’avant la pandémie, le secteur de la construction d’immobilier d’entreprise a enregistré un net rebond d’activité (+ 188,7 % de surfaces mises en chantier par rapport au 2^e trimestre 2019).

Du côté de la sphère entrepreneuriale, les créations d’entreprises ont continué leur ascension (+ 44,2 % par rapport au 2e trimestre 2020) et, bien que les défaillances d’entreprises aient augmenté par rapport au printemps 2020, elles sont restées faibles par rapport à la même période de 2019 (- 38,6 %).

Novembre 2021

1^er trimestre 2021

Un 1^er trimestre 2021 encourageant en Essonne

Fortement alimentée par les nouveaux micro-entrepreneurs, l’effervescence entrepreneuriale s’est poursuivie en Essonne au cours du 1er trimestre 2021 avec la création de 6 304 entreprises (+ 34,8 % en glissement annuel).

Parallèlement, les défaillances d’entreprises ont été 30,6 % moins importantes qu’au 1er trimestre 2020 grâce aux mesures de soutien permettant de prévenir leur faillite.

Parallèlement, bien qu’ayant subi des variations mouvementées au cours de l’année 2020, le taux de chômage départemental s’est stabilisé à 7,0 % au 1er trimestre, ce qui reste cependant supérieur au niveau d’avant crise (6,6 % au 4 e trimestre 2019).

De même, le niveau d’emploi a été quasiment inchangé même si le secteur de la construction a été dynamique.

Septembre 2021

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Ruth MPOZAGARA

4^ème trimestre 2022

Une économie essonnienne vigoureuse malgré des difficultés croissantes

La fin 2022 a été marquée par la continuelle montée du coût des intrants pour les entreprises ainsi que par leurs difficultés à recruter de la main-d’œuvre qualifiée dans certains secteurs.

Pour autant, l’économie essonnienne a montré des signes de robustesse notamment sur le plan de l’entrepreneuriat : les créations d’entreprises ont augmenté de 10,5 % au 4e trimestre 2022 par rapport au 4e trimestre 2021.

De plus, le taux de chômage s’est stabilisé à 6,3 %, soit à un niveau inférieur à celui du 4e trimestre 2019. L’activité touristique a confirmé son rebond avec une fréquentation hôtelière en hausse de 5,2 % par rapport au 4e trimestre 2019.

Cependant, quelques fragilités sont apparues sur le marché de l’emploi (- 0,4 % sur un trimestre) et les défaillances d’entreprises ont continué à augmenter.

Juin 2023

3^ème trimestre 2022

L’Essonne fait preuve de robustesse

En dépit des nombreuses difficultés, les indicateurs économiques essonniens ont affiché une évolution positive au 3^e trimestre 2022. En effet, les créations d’emplois ont augmenté de 0,3 % par rapport au 2^e trimestre 2022, notamment grâce aux secteurs de l’industrie (+ 0,7 %) et de la construction (+ 0,4 %).

Contrairement aux quatre trimestres précédents, les créations d’entreprises ont augmenté (+ 17,7 % sur un an). Sur le plan touristique, le total des nuitées hôtelières du 3^e trimestre 2022 a dépassé de 9,2 % celui du 3^e trimestre 2019. Malgré ces dynamiques favorables, le nombre d’entreprises défaillantes s’est alourdi (+ 41,4 % par rapport au 3e trimestre 2021) du fait de la crise énergétique et des tensions inflationnistes ; toutefois, le niveau atteint est resté inférieur à celui d’avant la crise sanitaire.

Mars 2023

2^ème trimestre 2022

L’emploi résiste malgré la détérioration de certains indicateurs en Essonne

Certaines fragilités de l’économie essonnienne se sont renforcées au 2e trimestre 2022. En effet, les créations d’entreprises ont poursuivi leur déclin (- 5,7 % en glissement annuel). De plus, l’accroissement des difficultés économiques, telles que la hausse des prix de l’énergie ou le remboursement des PGE, a entraîné une augmentation de 6,1 % des entreprises défaillantes sur la même période. Malgré cela, l’emploi salarié a augmenté de 0,2 % sur un trimestre ; en détail, l’industrie (+ 0,4 %) et le tertiaire (+ 0,3 %) ont été les acteurs de la création d’emplois sur le territoire. Enfin, l’activité touristique a également connu une situation favorable au cours du printemps dernier en rattrapant son niveau d’avant crise (+ 1,1 % de nuitées hôtelières par rapport au 2e trimestre
2019).

Novembre 2022

1^er trimestre 2022

La décélération du marché de l’emploi essonnien confirmée dès début 2022

Après avoir atteint son point culminant au cours de l’année 2021, le volume des emplois du secteur privé a diminué de 0,2 % au 1er trimestre 2022 notamment à cause d’un repli important de l’intérim (- 9,8 %).

Parallèlement, le taux de chômage a diminué de 0,1 point pour atteindre 6,3 %. En revanche, l’entrepreneuriat a une nouvelle fois décéléré avec une baisse de 5,9 % des créations d’entreprises par rapport au 1er trimestre 2021 ; les défaillances d'entreprises sont quant à elles modérément reparties à la hausse (+ 2,6 % en glissement annuel).

Toujours sensible aux répercussions de la crise sanitaire, la fréquentation hôtelière n’est pas parvenue à rattraper son niveau de 2019, avec un déficit de 18,3 % sur l’ensemble du 1er trimestre.

Septembre 2022

Auteurs : Mickaël LE PRIOL, Ruth MPOZAGARA